news-details
Arts et People

"Ils ont eu un accrochage" : Jean-Jacques Bourdin et Valérie Pécresse se seraient clashés hors caméra

Invitée de La France dans les yeux le 18 janvier dernier, Valérie Pécresse a maintenu sa venue dans l'émission malgré les accusations portées à l'encontre de Jean-Jacques Bourdin. Après un plaidoyer politique contre les violences faites aux femmes, la candidate LR a eu un petit accrochage avec le journaliste. C'était sa condition sine qua non. Invitée de La France dans les yeux, Valérie Pécresse a maintenu, mardi 18 janvier, sa venue dans l'émission animée par Jean-Jacques Bourdin, et ce, malgré une plainte déposée par une ancienne journaliste de RMC pour tentative d'agression sexuelle. Alors qu'une enquête a été ouverte par le parquet de Paris pour des soupçons d'agression sexuelle, la candidate LR a profité de son passage dans le programme pour défendre haut et fort sa position contre les violences faites aux femmes, qu'elle entend combattre si elle est élue présidente de la République. S'il est resté silencieux lors du plaidoyer politique de Valérie Pécresse, Jean-Jacques Bourdin en a profité pour clamer de nouveau son innocence, lui qui a accepté de se soumettre à la demande de la candidate qui a saisi cet épisode judiciaire pour sa campagne et affirmer ses positions. Toutefois en coulisses, l'ambiance aurait été beaucoup moins cordiale que sur le plateau de l'émission, comme l'a révélé Cyril Hanouna. "Ils ont eu un accrochage, Jean-Jacques Bourdin lui a reproché avec véhémence cette vindicte populaire", a-t-il ainsi révélé dans TPMP, jeudi 20 janvier, avant que Gilles Verdez n'affirme : "Je ne savais pas que c'était avec véhémence mais effectivement il y a eu un contact un peu compliqué. Il ne digère pas ce qu'il s'est passé, c'était chaud, c'est vrai". Anne Nivat dénonce une "instrumentalisation politique" Alors que Valérie Pécresse avait fait de la plainte contre Jean-Jacques Bourdin la raison du maintien de sa venue dans La France dans les yeuxà condition de pouvoir la commenter, Anne Nivat elle, n'a pas non plus apprécié le "coup de communication" de la candidate LR. Si elle suit cette dernière sur son côté "franc", sa lutte contre les violences faites aux femmes, ainsi que sa position sur la présomption d'innocence, la journaliste et femme de Jean-Jacques Bourdin "réprouve l'instrumentalisation immédiate, politique, et l'exercice de communication" exercé par la candidate LR à l'élection présidentielle. "C'est de la comm parce que ce sont des éléments de langage", a-t-elle ainsi ajouté. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

You can share this post!