Il enferme sa petite-amie vivante dans une valise et la laisse mourir au bord d'une route
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Il enferme sa petite-amie vivante dans une valise et la laisse mourir au bord d'une route Le corps sans vie d'une Américaine de 24 ans a été retrouvé le 5 février 2019 dans l'Etat du Connecticut
Le corps sans vie d'une Américaine de 24 ans a été retrouvé le 5 février 2019 dans l'Etat du Connecticut. Son ex-petit ami l'a enfermée vivante dans une valise.
Valérie travaillait dans une librairie d'Eastchester, dans l'État de New York, aux États-Unis. Le 30 janvier 2019, cette jeune femme de 24 ans ne s'est pas rendue au travail. Elle n'avait pas été vue depuis deux jours et sa famille s'inquiétait. Sa mère avait alors déclaré qu'elle avait eu un mauvais pressentiment la dernière fois qu'elle avait parlé à sa fille au téléphone. La jeune femme avait confié à sa mère qu'elle craignait que quelqu'un ne la tue.
Le 5 février de la même année, le corps sans vie de Valérie a été retrouvé à Greenwich, dans le Connecticut, à environ 15 km de son domicile, rapporte le Daily Mirror. Des ouvriers de la voirie l'ont découvert à l'intérieur d'une valise rouge déposée au bord d'une route située dans une zone boisée. La jeune femme avait les bras et jambes liés avec du ruban adhésif et de la ficelle. Plusieurs couches de ruban adhésif avaient été placées sur sa bouche. Elle avait également une blessure à la tête et des contusions sur son visage.
Elle a été enfermée vivant dans la valise
Valérie est morte par asphyxie, ce qui signifie qu'elle a été enfermée vivant dans la valise. Une semaine après la macabre découverte, les enquêteurs ont vu que quelqu'un avait utilisé la carte bancaire de la jeune femme pour retirer de l'argent. Sur les vidéos de surveillance, on pouvait apercevoir un homme qui sortait d'une voiture de location. La plaque d'immatriculation du véhicule a permis aux policiers de remonter jusqu'à l'homme qui l'avait loué : Javier Da Silva Rojas.
Il s'agissait de l'ex-petit ami de la victime, qu'elle avait rencontré sur internet en janvier 2018. Mais Valérie avait mis fin à la relation trois mois plus tard, cessant toute communication avec lui. Ce dernier ne l'entendait pas de cette oreille puisqu'il a continué, pendant des mois, à chercher à rentrer en contact avec elle. Après son arrestation, la police a constaté que son ADN correspondait à celui présent sur la poignée de la valise et sous les ongles de Valérie. Il a été condamné à 30 ans de prison.
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