Guy Carlier : en plein direct sur Sud Radio, il interrompt sa chronique et laisse éclater sa colère

Guy Carlier a poussé un coup de gueule ce mardi 1er février sur Sud Radio. Le célèbre chroniqueur a voulu réagir au placement sous protection policière d'Ophélie Meunier, survenu après que cette dernière a reçu des menaces de mort suite à la diffusion du dernier numéro de Zone Interdite. Après la diffusion d'un numéro de Zone Interdite consacré à l'islam radical ce dimanche 23 janvier, la présentatrice Ophélie Meunier a reçu des menaces de mort. Elle a dû être placée sous protection policière. Même chose pour le juriste originaire de Roubaix Amine Elbahi, qui apparait également dans le reportage. Après ces révélations, de nombreuses personnalités médiatiques et politiques ont fait part de leur colère et ont tenu à apporter leur soutien à la journaliste. C'est par exemple le cas deGuy Carlierqui a poussé un coup de gueule ce mardi 1er février sur Sud Radio. Dans sa chronique Carlier libre!, dans laquelle il donne habituellement son avis sur l'actualité avec humour, l'homme des médias de 72 ans a souhaité conclure avec une "digression sérieuse". Outré par l'affaire Ophélie Meunier, il a souhaité apporter publiquement son soutien à la journaliste. Guy Carlier a eu également envie d'évoquer "les salopards qui menacent Ophélie Meunier après le reportage qui n'a pas eu l'air de leur plaire ". Guy Carlier : "Il y a un vaccin contre cette peste, il s'appelle le courage" Le chroniqueura tenu à préciser qu'il ne souhaitait pas porter un "jugement sur la qualité du reportage", mais dénoncer ces individus qui "menacent la journaliste de mort sur les réseaux sociaux". Face à la multiplication des menaces sur les réseaux sociaux, Guy Carlier a voulu faire passer un message aux auditeurs de Sud Radio : "Je pense que chacun de nous doit combattre avec intransigeance cette peste pandémique, bien plus grave que le Covid. Car il y a un vaccin contre cette peste, il s'appelle tout simplement le courage", a-t-il déclaré, avant d'ajouter : "Aucun compromis ne peut être accepté, car ce n'est pas un compromis alors, mais de la collaboration." Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités