Emilia Clarke miraculée : la star de Game of thrones privée d'une partie de son cerveau
En 2011, alors qu'elle était âgée de 24 ans, Emilia Clarke a été victime d'une rupture d'anévrisme, puis d'une seconde deux ans après. Dans un entretien accordé à la BBC ce dimanche 17 juillet, la comédienne britannique s'est confiée sur cette épreuve, et a assuré que même s'il lui manque une partie de son cerveau, elle réussit à vivre sa vie « complètement normalement ».
Une véritable miraculée. En 2011 Emilia Clarkea été victime d'une rupture d'anévrisme, puis d'une seconde en 2013. Une épreuve douloureuse que la comédienne britannique est parvenue à traverser et sur laquelle elle s'est confiée à l'occasion d'un entretien accordé dans l'émission Sunday Morning, sur la BBC, ce dimanche 17 juillet. Sur le plateau, celle qui incarne Daenerys Targaryen dans Game of Thrones a assuré faire "partie de la très, très, très petite minorité de personnes qui survivent à cela".
Emilia Clarke s'est également estimée chanceuse de ne pas souffrir de séquelles. "C'est remarquable que je puisse encore parler de manière articulée, et que je vive ma vie complètement normalement, sans aucune répercussion", a déclaré la comédienne de 35 ans, qui a toutefois révélée être aujourd'hui privée d'une partie de son cerveau : "Dès qu'une partie de votre cerveau ne reçoit pas de sang pendant une seconde, elle meurt. Donc le sang trouve un chemin différent mais la partie perdue l'est pour toujours."
Emilia Clarke : "c'était la douleur la plus atroce"
Bien que ses problèmes de santé ne l'empêchent pas de profiter de la vie, Emilia Clarke a tout de même avoué avoir particulièrement souffert par le passé. "C'était la douleur la plus atroce, des vomissements énormes, j'essayais de reprendre conscience", a-t-elle poursuivi.
L'actrice britannique s'était déjà confiée en 2019 sur son premier accident, survenu en février 2011. "Mon nom complet est Emilia Isobel Euphemia Rose Clarke. Mais je ne parvenais pas à me le rappeler. À la place, des mots sans queue ni tête sortaient de ma bouche", expliquait-elle dans les pages du New Yorker. Et de faire une terrible révélation : "Au plus bas, j'ai voulu en finir. J'ai demandé à l'équipe médicale de me laisser mourir. Mon travail - le rêve de ma vie pour toujours - était axé sur le langage, la communication. Sans ça, j'étais perdue". Aujourd'hui, Emilia Clarke cherche à sensibiliser et venir en aide aux victimes. Elle a ainsi créé en 2020 l'association caritative SameYou afin de collecter des fonds.