Élisabeth Quin malade : cet effet secondaire disgracieux de son traitement dont elle préfère rire
Alors qu'elle souffre d'un double glaucome aux yeux, Elisabeth Quin se confie sans langue de bois sur cette maladie qui entraîne la cécité. Et pour garder la vue, la journaliste doit se soumettre à un traitement avec quelques effets secondaires.
Elle trouve encore à rire de sa maladie. En 2019, Élisabeth Quin révélait être atteinte d'un double glaucome aux yeux, une maladie qui sur le long terme, provoque la perte de la vue jusqu'à la cécité. Un témoignage bouleversant de la part de la journaliste, que les téléspectateurs de Arte retrouvent chaque soir lors du magazine 28 Minutes. "J'ai eu peur, car je savais qu'il s'agissait d'une maladie évolutive et grave. J'avais à peine 40 ans : apprendre que j'allais perdre la vue a été un coup sur la tronche", avait-elle confié, révélant avoir fait ensuite un déni durant six mois suite au verdict.
Désormais, Élisabeth Quin semble assumer pleinement sa maladie, avec qui la cohabitation ne semble pas être des plus mauvaises. Pour préserver sa vue le plus longtemps possible, l'animatrice doit d'ailleurs suivre un traitement qui entraîne quelques effets secondaires. Mais loin de se laisser abattre par ce détail, elle préfère en rire, comme elle l'avait fait sur le plateau de 6 à la maison en novembre 2020. "Il vaut mieux", avait-elle confié lorsque Anne-Elisabeth Lemoine lui a fait remarquer son autodérision, tandis qu'elle prévoyait déjà de devenir "une femme à barbe borgne". "Les collyres [qu'elle doit mettre dans les yeux deux fois par jour, ndlr] ont un petit effet secondaire de pilosité délirante. Je vis avec une pince à épiler dans ma poche (...) J'ai une barbe blanche dans trois ans !", avait-elle lancé.
Élisabeth Quin voit-elle toujours ?
Si l'effet secondaire est disgracieux, Élisabeth Quin assure que sa maladie ne progresse pas aussi vite, car elle suit un traitement rigoureux qui permet de retarder la cécité. "Ça va, car je me soigne, je suis suivie par plusieurs ophtalmos, je mets des collyres deux fois par jour et j'essaye d'exercer une sorte d'hygiène mentale ou spirituelle qui met à distance l'angoisse, qui me submergerait sinon, mais pour l'instant ça va, je vois toujours. Il y a des choses que je ne peux plus faire, mais je peux toujours travailler, je peux vous voir et fonctionner à peu près", avait-elle précisé, plus combative que jamais.
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