Bruno Le Maire pris pour cible : ce coup en douce de détracteurs sur sa résidence secondaire
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Bruno Le Maire Depuis de nombreuses années maintenant, les prix de l'immobilier ont grimpé dans les villes côtières notamment à cause de l'achat de nombreuses maisons secondaires. Ainsi, les locaux dénoncent la flambée des prix, comme l'ont fait des militants, ce lundi 11 juillet. Mais ceux qui se réclament de l'association d'Euskal Herria Bai, à Saint-Pée-sur-Nivelle dans le sud-ouest n'ont pas hésité à faire une action coup de poing.
Ce lundi 11 juillet, des militants ont réussi à pénétrer dans le jardin de la villa secondaire de Bruno Le Maire pour une action coup de poing.
Depuis de nombreuses années maintenant, les prix de l'immobilier ont grimpé dans les villes côtières notamment à cause de l'achat de nombreuses maisons secondaires. Ainsi, les locaux dénoncent la flambée des prix, comme l'ont fait des militants, ce lundi 11 juillet. Mais ceux qui se réclament de l'association d'Euskal Herria Bai, à Saint-Pée-sur-Nivelle dans le sud-ouest n'ont pas hésité à faire une action coup de poing. Et c'est Bruno Le Mairequi a été pris pour cible. En effet,le ministre de l'Économie et des Finances possède une maison sur dans cette ville. Alors, les militants, démunis contre la flambée de l'immobilier, ont décidé de pénétrer dans le jardin du ministre.
Ils ont ainsi retiré des tuiles de sa toiture et ont expliqué leur geste à Actu Pays basque : "Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre du temps pour cette bataille de droit au logement". Et apparemment, leur action coup de poing a bien fonctionné. Alors que Bruno Le Maire était resté silencieux, le ministre a décidé de recevoir ces militants. "Victoire ! Via un entretien téléphonique avec Bruno Le Maire, le ministre nous a confirmé un rendez-vous ce mois-ci. Nous levons le camp mais poursuivons la bataille en faveur du droit au logement", ont-ils écrit sur Twitter. Chose promise, chose due, les militants ont quitté.
Bruno Le Maire a accepté de rencontrer les militants
Les militants, qui ne sont pas entrés à l'intérieur de la maison de Bruno Le Maire, lui demandent de "le déplafonnement des 60 % de la surtaxe sur les résidences secondaires. Cette surtaxe n'a aucun effet dissuasif sur les propriétaires des résidences secondaires puisqu'elle représente quelques centaines d'euros par an tout au plus". Si leur combat n'est pas gagné d'avance, ils ont tout de même réussi à obtenir un rendez-vous avec Bruno Le Maire.