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Arts et People

Cédric Jubillar : pourquoi les enquêteurs ont écourté la garde à vue de sa compagne

Placée en garde à vue, la compagne de Cédric Jubillar aurait été relâchée rapidement pour une raison bien précise selon une enquête du Nouveau Détective, révélée ce mercredi 22 décembre. En partageant la vie de Cédric Jubillar, et à force de marteler son innocence au gré de ses interviews et de son temps sur le devant de la scène, Séverine L. a attiré l'attention des enquêteurs. Un an jour pour jour depuis la disparition de Delphine Jubillar, le 15 décembre 2021, la jeune femme a été placée en garde à vue, soupçonnée de complicité de recel de cadavre. Car les enquêteurs en sont convaincus : l'artisan peintre serait responsable de la probable mort de l'infirmière de 33 ans, avec qui il était en instance de divorce. D'après un ex-codétenu, il aurait même confié où se trouvait le corps de la mère de famille, laissant entendre que la compagne de Cédric Jubillar connaissait, elle aussi, l'emplacement du cadavre. Détenue dans le Tarn, Séverine L. n'a pourtant été retenue que 38 heures sur les 48 heures légales, comme l'a révélé le magazine de faits divers Le Nouveau Détective, dans une enquête révélée ce mercredi 22 décembre 2021. D'après cette dernière, si la nouvelle compagne de Cédric Jubillar a pu prouver sa bonne foi, elle ne serait pas complètement sortie d'affaire. Sa garde à vue aurait été écourtée pour une raison particulière. "Ils ont clairement gardé une petite réserve pour pouvoir la réentendre ultérieurement, au cas où", estiment ainsi nos confrères. Cédric Jubillar affirme être innocent De son côté, Cédric Jubillar demeure placé à l'isolement - de quoi rendre le témoignage de son ex-codétenu d'autant plus intriguant - à la maison d'arrêt de Seysses. Tandis que Séverine L. lui affirme son soutien le plus clair par voie de presse, il insiste tout autant sur son innocence. Au mois de novembre 2021, à l'occasion d'une nouvelle audience, il a ainsi glissé aux journalistes présents n'avoir "jamais fait de mal" à Delphine Jubillar. De quoi agacer la juge en charge de cette audience à huis clos, et déjà bien agacée par la médiatisation de l'affaire, cause de nombreuses fuites. "Vous n'êtes pas là pour donner des interviews à la presse", a rappelé la magistrate. Ses multiples demandes de remise en liberté ont par ailleurs été rejetées. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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