"Ce que personne ne sait…" : Inès Reg revient sur sa brouille avec Valérie Trierweiler

Grandes gagnantes de Pékin Express, Inès et Anaïs ont parlé à nos confrères de Télé Star de leur aventure, et notamment de la relation qu'elles ont eue avec Valérie Trierweiler. C'est terminé ! Ce mercredi 10 août, Inès Reg et Anaïs ont remporté la saison 16 de Pékin Express, une édition duos de choc qui se déroulait au Sri Lanka. Au terme de plusieurs semaines d'aventure, les deux sœurs ont réussi à battre tous les autres binômes présents pour arriver en premier devant Stéphane Rotenberg lors de la toute dernière course. C'est contre Rachel Legrain-Trapani et son compagnon Valentin qu'elles se sont mesurées dans la finale, mais elles ont aussi, au fil des étapes, battu Valérie Trierweiler et Karine, Xavier Domergue et Yoann Riou, Just Riadh et Abdallah, et Théo Curin et Anne. Des adversaires redoutables dont les deux jeunes femmes sont venues à bout. Au cours de cette nouvelle saison de Pékin Express, la compétition a donc battu son plein, au point que certains binômes se soient montrés particulièrement combatifs, comme c'est notamment le cas de Valérie Trierweiler et de son amie Karine. La journaliste a rapidement montré qu'elle était là pour en découdre, quitte à déstabiliser ses adversaires avec quelques piques bien senties. Comme elle l'a expliqué lors d'une interview exclusive avec Télé Star après avoir remporté la finale, Inès Reg n'était d'ailleurs pas de marbre face à ces remarques. "Au début, ça a été un peu compliqué parce que les piques étaient très fortes et ça nous a beaucoup touchées" explique l'humoriste en parlant de sa sœur Anaïs et d'elle-même. Inès Reg : "Valérie Trierweiler est une punchlineuse sans nom" Il faut dire que Valérie Trierweiler n'y allait pas avec le dos de la cuillère et, comme Inès Reg l'avait déjà dévoilé, a attaqué dès le début en pointant du doigt la petite taille de la valise d'Inès pour lui dire que c'était bien comme ça et qu'au moins elle savait qu'elle n'allait pas rester longtemps dans l'aventure. Heureusement, les sœurs ont fini par relativiser un peu et finalement ces petites attaques les ont plus motivées qu'autre chose. "Au fur et à mesure, on s'endurcit et ça devient un boost pour nous. Quand Valérie Trierweiler dit que c'est la guerre, au final c'est une guerre très drôle". D'autant plus que l'ex-première dame a un sens de l'humour bien affuté. "C'est une punchlineuse sans nom qui est très drôle, du coup c'était un peu à celle qui avait la meilleure punchline, on a énormément rigolé".