Brigitte Macron : victime d'une fake news ignominieuse, la première dame porte plainte

Prise pour cible par une fake news affirmant qu'elle serait en réalité une femme trans, dont le nom à la naissance serait Jean-Michel Trogneux, Brigitte Macron a décidé de porter plainte, comme l'a indiqué son avocat à LCI lundi 20 décembre 2021. Première dame de France depuis que son mari a été élu président de la République en 2017, Brigitte Macron pourrait bien rester 5 années supplémentaires à l'Élysée, si jamais Emmanuel Macron remportait l'élection présidentielle de 2022. Toutefois, le chef de l'État n'a pas encore officiellement annoncé sa candidature pour cette prochaine échéance électorale. Il faut dire que l'actuel pensionnaire de l'Élysée doit d'abord gérer la crise sanitaire, qui a été relancée depuis quelques semaine, suite à l'apparition du variant Omicron sur le territoire français. De son côté, Brigitte Macron doit faire face à une fake news ignominieuse depuis quelques jours. En effet, des mensonges se sont propagés au sujet de son identité sur les réseaux sociaux. Selon cette fameuse fausse information, la Première dame serait en réalité une femme trans. Son nom de naissance serait en fait Jean-Michel Trogneux, Trogneux étant son nom de jeune fille. Par conséquent, elle ne serait donc pas la mère de ses enfants. Cette fake news a été massivement partagée sur Twitter. À ce titre, le hashtag #JeanMichelTrogneux était dans le top des tendances du réseau social en France le 13 et 14 décembre 2021. Au total, plus de 34 000 tweets partageant cette infox ont été recensés sur Twitter. Brigitte Macron souvent attaquée sur les réseaux sociaux depuis qu'Emmanuel Macron est Président Face à cette situation, l'avocat de Brigitte Macron a indiqué lundi 20 décembre 2021 surLCI que la Première dame allait porté plainte. Pour rappel, la compagne d'Emmanuel Macron fut déjà la cible d'attaques sur les réseaux sociaux par le passé. Depuis que son mari a succédé à François Hollande au sein de l'Élysée, Brigitte Macron a régulièrement fait l'objet d'insultes haineuses sur son physique ou sur son âge. De son côté, le site Numerama a révélé, après enquête, que cette fameuse fake news transphobe aurait été massivement relayée par des comptes complotistes influents, dans les milieux d'extrême-droite, et par des groupes antisémites. Sa première apparition serait intervenue le 29 septembre 2021 dans Faits & Documents, une revue proche des milieux complotistes. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités