Brigitte Macron : après des injures transphobes, la première dame frappe fort

Quand on attaque Brigitte Macron, Brigitte Macron contre-attaque. La première dame de France assigne en justice deux femmes qui ont prononcé des « injures transphobes ». Attention aux dégâts ! Brigitte Macron, femme puissante ? Héroïne badass ? Justicière de l'ombre ? Un peu tout ça à la fois. L'épouse du Président de la République s'apprête à lever du poing au tribunal pour répondre par voix de justice, au civil et au pénal, à deux autrices de rumeurs transphobes à son encontre. L'information communiquée par une source proche du dossier, a été confirmée par l'AFP avant d'être relayée par la chaîne BFMTV. Les faits sordides remontent à la fin 2021. En décembre dernier, une rumeur sur l'identité sexuelle de la première dame de France commence à circuler sur les réseaux sociaux. Elle explose en quelques jours sur Twitter où l'on peut lire cette information transphobe et fallacieuse : Brigitte Macron serait née... « Jean-Michel Trogneux ». Un comble pour la benjamine d'une grande famille de six enfants ! Brigitte Macron porte plainte Les deux femmes à l'origine de la rumeur ont diffusé sur les réseaux sociaux une interview dans laquelle un « médium » affirmait que le frère de l'épouse d'Emmanuel Macron aurait pris le prénom de sa soeur. La fake news a pu compter sur les relais d'extrême-droite pour exploser les compteurs de vues. Sa propagation avait de quoi faire sortir la première dame de ses gonds. Si elle a bien deux frères aînés, Brigitte Macron n'a jamais changé de sexe et ne tolère pas de tels propos transphobes. Sa plainte a été déposée au mois de décembre dernier. L'AFP indique qu'une première audience a été fixée pour le 15 juin, soit deux mois après le résultat des élections présidentielles. Qu'elle soit encore à l'Elysée ou non, Brigitte Macron ne compte pas en rester là. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités