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Arts et People

Bernard Tapie sort du silence : son récit glaçant sur le tabassage qu'il a subi avec sa femme

Dans la nuit du 3 au 4 avril, Bernard Tapie et son épouse, Dominique, ont été victimes d'un virulent cambriolage dans leur maison secondaire de Combs-la-ville. Dans un bref entretien avec Libération, l'homme d'affaires a décrit les maltraitances que leur ont fait subir les malfaiteurs, à sa femme et lui. Bernard et Dominique Tapie ont probablement vécu l'une des pires nuits de leur existence, ce week-end. Dans la nuit de samedi à dimanche, vers minuit et demi, alors qu'ils dorment profondément, quatre cambrioleurs cagoulés s'introduisent dans leur demeure secondaire de Combs-la-ville en forçant une fenêtre du premier étage. Le couple est réveillé par "des lampes torches dans la figure" avant d'être passé à tabac et ligoté. "La scène a duré quarante-cinq minutes", révèle Bernard Tapie à Libération. "Ils ont frappé ma femme à coups de poing dans la gueule, moi attaché sur une chaise. Elle criait. J'ai subi cet épisode comme si je recevais personnellement les coups." Si les agresseurs se sont particulièrement acharnés sur Dominique Tapie, son époux, lui, a reçu un coup de matraque sur la tête. "J'aurai peut-être un peu de séquelles pour ma tumeur au cerveau, suite au coup de matraque reçu sur la tête. Les médecins me le diront dans deux jours", indique l'ancien patron de l'OM. Pourquoi les malfaiteurs ont-ils usé d'une telle violence ? Selon Bernard Tapie, il existe deux raisons. "1) ils étaient sûrement déçus de ce qu'ils ont pu dérober sur place, pas à la hauteur de leurs espérances 2) pour le simple plaisir de nous faire du mal", lâche-t-il. Les voleurs, qui avaient vraisemblablement ciblé la maison des Tapie dans l'espoir d'en repartir avec un généreux butin, ont finalement pris la fuite avec quelques bijoux, "deux montres - dont une Rolex -, des boucles d'oreilles, des bracelets, et une bague", rapporte Le Parisien. "Des types sacrément chevronnés" Les enquêteurs en charge de l'affaire vont devoir composer sans images du cambriolage, la maison des Tapie n'étant pas - au moment des faits - équipée de caméras de surveillance. Bernard Tapie, quant à lui, n'est pas non plus en mesure d'identifier les malfaiteurs, en raison de leur camouflage. "Ils étaient quatre, casqués, cagoulés, bottés. Des types sacrément chevronnés", lance l'homme d'affaires. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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