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Arts et People

Ayem Nour : cette grave accusation qui vise l’animatrice et qui pourrait avoir des conséquences énormes

"L’amour de ma vie, mon fils, Ayvin et moi-même sommes enfin rentrés en France. Le soulagement est indescriptible, la joie est immense. Des batailles, j’en ai connues. J’en ai menées. Mais celle-ci est de loin la plus grande et la plus impressionnante qu’il m’a été donnée d’affronter : me battre contre la toute-puissance pour le bien-être et l’équilibre de mon fils", écrit Ayem Nour au mois de septembre dernier sur Instagram. L'ex-participante de Secret Story vient alors de rentrer du Maroc pour récupérer son enfant âgé de 7 ans. Le père du petit garçon, Vincent Miclet, juge pour sa part que son fils a tout bonnement été "exfiltré", au mépris des lois en vigueur. "Un coup de force" réalisé par la jeune femme "avec l’aide du consulat général de France en dépit de nombreuses décisions de justice marocaines", explique l'avocate de l'homme d'affaires, Caroline Wassermann, dans Le Parisien. L'affaire ne s'arrête pas là. Nos confrères rapportent avoir pu consulter un mail en date du 9 décembre 2022 dans lequel le consul de France à Marrakech, Stéphane Baumgarth, explique "qu’il ne délivrerait jamais un tel [laissez-passer]". "Pourquoi le quai d’Orsay via le consul se permet de mettre une gifle pareille à la justice marocaine ?", s'interroge Caroline Wassermann. Et le diplomate de lui répondre par courrier : "Ce laissez-passer a été délivré à l’enfant par nos services, en considération de son intérêt supérieur à rejoindre sa résidence habituelle, fixée au domicile de sa mère". Seulement, un accord signé de la main d'Ayem Nour et de son ex-compagnon à l'été 2022 permettait la scolarisation d'Ayvin à Marrakech. La jeune femme s'était rétractée au mois d'avril dernier, "jugeant l’accord caduc". "Ces faits étaient parfaitement connus des services du consulat", ajoute le quotidien francilien. Jusqu'où ira l'affaire Ayem Nour ? "Vincent Miclet demande aux autorités françaises de convoquer son ex-compagne et de mettre en œuvre le rapatriement de son fils, si l’on s’en fie à la convention de La Haye sur les droits de l’enfant de 1980 et 1996 qui obligent au retour immédiat des enfants déplacés illicitement", fait savoir Caroline Wassermann dans les pages du Parisien. Elle poursuit : "Il ne s’agit pas de dénier les droits parentaux de Mme Nour, ajoute encore l’avocate, mais elle s’est comportée comme un cow-boy hors la loi avec la complicité des autorités consulaires… C’est choquant ! C’est une claque pour la justice marocaine". Selon nos confrères, une instruction contre Ayem Nour pour "enlèvement d’enfant" a été ouverte par la justice marocaine qui suit de près l'affaire. L'accusation grave qui pèse sur l'animatrice pourrait dépasser les frontières et provoquer un accident diplomatique dans un contexte de relations compliquées entre la France et la Maroc. Affaire à suivre…

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