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Arts et People

Ary Abittan accusé de viol : l'avocat de la plaignante sort du silence et pousse un gros coup de gueule

Ary Abittan a été mis en examen pour viol le 2 novembre dernier. L'avocat de la plaignante s'est exprimée, ce mardi 16 novembre dernier, au micro de RTL. C'est une affaire qui a fait beaucoup de bruit ces derniers jours : Ary Abittan a été mis en examen, le 2 novembre dernier, pour viol. Une jeune femme de 23 ans, avec qui l'acteur prochainement à l'affiche deQu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? avait déjà eu des relations consenties, l'accuse de l'avoir forcée à avoir des pratiques sexuelles. Maître Arash Derambarsh, l'avocat de la victime présumée, est sorti du silence, ce mardi 16 novembre, au micro de RTL. L'avocat a indiqué que sa cliente avait "subi de graves violences, en l'occurrence un viol avec violences" et que des "ITT (ndlr : incapacité temporaire de travail) ont été constatées". Et de préciser : "Ce n'est pas parce que vous établissez une relation intime avec quelqu'un que vous pouvez tout accepter". Ce lundi 15 novembre, Myriam Palomba, directrice déléguée du magazine Public, avait donné des précisions sur les blessures constatées sur la jeune femme dans Touche pas à mon poste. La directrice déléguée de Public a, en effet, pu consulter les rapports médicaux-légal de l'affaire. Selon cette dernière, la plaignante souffrirait de plusieurs contusions "au niveau du coccyx" et aurait eu droit à deux jours d'ITT. Myriam Palomba a également précisé que la jeune femme souffrirait également d'une profonde détresse psychologique : "Elle est extrêmement mal. (...) Elle a des crises d'angoisse et de grosses paniques à cause de l'ampleur que prend l'affaire." Affaire Ary Abittan : l'avocat de la victime réclame "la fin de la pression médiatique" Arash Derambarsh a tenu à prendre la parole sur RTL pour rappeler que, si le secret de l'instruction et le principe de la présomption d'innocence doivent être respectés, il réclame également "la fin de la pression médiatique pour essayer d'édulcorer les faits, qu'on arrête de discréditer la parole de la plaignante". Et de conclure : "Qu'on arrête de dévaloriser la parole de la victime une bonne fois pour toutes dans le pays." Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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