Affaire Jean-Jacques Bourdin : sa femme Anne Nivat provoque un gros malaise dans C à vous
Invitée dans C à vous quelques jours après le dépôt d'une plainte contre Jean-Jacques Bourdin, Anne Nivat s'est agacée. La journaliste n'a pas aimé être longuement interrogée sur une affaire en cours.
Le malaise était palpable sur le plateau de C à vous. Ce mercredi 19 janvier, Anne Nivat était invitée sur France 5 pour parler de la sortie de son nouveau livre, La France de face. Une publication qui coïncide avec la révélation de la plainte pour tentative d'agression sexuelle déposée contre son mari, Jean-Jacques Bourdin. Interrogée par Anne-Elizabeth Lemoine, la journaliste s'est agacée. "J'ai foi en la justice, pas vraiment en les journalistes", a-t-elle lancé, en référence à la révélation de cette plainte par nos confrères du Parisien. Devant ces propos, Patrick Cohen et Anne-Elizabeth Lemoine ont été interloqués. "Le parquet de Paris va travailler. (...) La justice va faire son travail et ne me ramenez pas uniquement à être la femme de Jean-Jacques Bourdin car c'est ce que vous êtes en train de faire depuis quelques minutes", a continué Anne Nivat, très énervée.
"Nous sommes en direct et je ne vous dirais rien de plus que cela concerne mon mari. Des journalistes du Parisien ont sorti cette plainte, le nom de cette personne circule, elle sera entendue par le parquet, mon mari aussi, et puis je ne peux rien vous dire d'autre car je ne peux pas prédire l'avenir, mais croyez comme moi en la présomption d'innocence", a conclu Anne Nivat, très remontée par les questions de l'équipe de C à vous au sujet de son époux, Jean-Jacques Bourdin. Quelques minutes avant, elle a réagi à la prise de parole de Valérie Pécresse ce mardi 18 janvier. Sur le plateau de BFMTV, la candidate des Républicains à l'élection présidentielle a souhaité prendre la parole face à son intervieweur, "en raison de l'ouverture d'une enquête par la justice à la suite d'une plainte déposée contre monsieur Bourdin pour tentative d'agression sexuelle".
Anne Nivat "réprouve l'instrumentalisation immédiate politique et la com"
"C'est à la justice de trancher (les faits) et je respecte la présomption d'innocence", a continué Valérie Pécresse, qui a ensuite voulu dire "très clairement" que "si ces accusations sont avérées, elles sont graves et doivent être condamnées". Comme Valérie Pécresse, qui est "franche", Anne Nivat n'a pas mâché ses mots. La journaliste a fustigé un "coup de com'" de la part de la candidate à l'Elysée. "Je réprouve l'instrumentalisation immédiate politique et la com' qui arrive tout de suite", a expliqué l'épouse de Jean-Jacques Bourdin sur le plateau de C à vous pour laquelle cette prise de parole n'était rien d'autre qu'un "exercice de communication". Pour Anne Nivat, "ce sont des éléments de langage" : "Elle dit ça (qu'elle a hésité à participer, ndlr), mais elle est venue à l'émission".
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