Vladimir Poutine pris de tremblements lors d'un entretien tendu retransmis à la télévision
Lors d'une cérémonie officielle en compagnie de son allié, le président Kazakh Kassym-Jomart Tokayev, Vladimir Poutine a été pris d'une nouvelle crise de tremblement. De quoi relancer totalement les hypothèses sur le mauvais état de santé du chef du gouvernement russe.
Les hypothèses sur l'état de santé déclinant de Vladimir Poutine sont officiellement relancées. Lors d'une récente cérémonie officielle retransmise en direct à la télévision en compagnie de son allié, le président Kazakh Kassym-Jomart Tokayev, Vladimir Poutine s'est une nouvelle fois montré très faible physiquement. Pour commencer, le président de la Russie est apparu avec le visage complètement bouffi, ce qui a beaucoup fait parler. Ensuite, le chef d'Etat du Kazakhstan n'a pas semblé en parfaite harmonie avec Vladimir Poutine : ce dernier a refusé de le regarder dans les yeux pendant l'entièreté de la cérémonie, un signe qui prouve sa désapprobation de l'invasion de l'Ukraine.
Et pour ne rien arranger aux affaires de Poutine, en pleine retransmission de cette soirée qui se déroulait à Moscou, l'autocrate a été pris d'une sévère crise de tremblements, ce qui n'a pas échappé aux caméras de télévision. Les pieds de Vladimir Poutine se sont montrés incontrôlables, ce qui a été logiquement analysé comme un signe de gros problèmes de santé. Âgé de 70 ans, le président russe serait définitivement sur le déclin, ce qui n'arrange pas les affaires de l'Ukraine et du reste du monde, tant il pourrait se montrer incontrôlable.
Vladimir Poutine inquiète de plus en plus le reste du monde
Mais en plus de cela, le moins que l'on puisse dire est que les élans guerriers de Vladimir Poutine sont en train de l'isoler encore un petit peu plus au niveau diplomatique. Pour preuve : le Kazakhstan, qui était un puissant allié de la Russie, commence à lui tourner le dos. En permettant à des dizaines de milliers d'hommes russes de quitter leur pays afin de ne pas être appelés pour être envoyés au front, le président kazakh a énormément agacé son homologue russe. "Nous ne devons pas permettre aux peuples fraternels russe et ukrainien de se séparer pendant des dizaines ou des centaines d'années avec des griefs mutuels non résolus", a déclaré M. Tokayev à M. Poutine. Une grosse épine dans le pied de la Russie, englué dans une guerre qu'elle pensait gagner bien plus rapidement que cela.