Une nonagénaire déclarée morte et placée dans un sac mortuaire, jusqu’à un incroyable coup de théâtre

L'histoire de Norma Silveira da Silva, une nonagénaire brésilienne, ressemble à un scénario de film, mais elle est tristement réelle. Dans un cas alarmant et bouleversant d'erreur médicale, Norma a été déclarée morte à l'hôpital régional São José et a été zippée dans un sac mortuaire, comme le rapporte The Mirror. Ce n'est que deux heures plus tard que la vérité a été découverte : elle était toujours en vie. Cet incident met en lumière non seulement la vulnérabilité des patients dans les hôpitaux, mais aussi les failles potentielles dans les protocoles médicaux et administratifs. Le cas de Norma n'est pas un incident isolé, mais un rappel troublant des erreurs qui peuvent survenir dans le système de santé. La situation de Norma a éveillé des questions sur la manière dont les décès sont gérés dans les hôpitaux et a soulevé des inquiétudes sur la possibilité de telles erreurs ailleurs. La découverte de Norma vivante dans un sac mortuaire a déclenché une série de réactions, allant de l'indignation du public à des enquêtes officielles. Ce cas souligne la nécessité d'une vigilance accrue et de procédures plus rigoureuses pour garantir la sécurité et le bien-être des patients. L'incroyable survie de Normal Silveira da Silva Une amie de Norma, Jessica Martins Silvi Pereira, qui l'avait accompagnée à l'hôpital, a décrit le moment où elle a été retrouvée dans le sac mortuaire. Selon Jessica, Norma respirait très faiblement et, étant inconsciente, elle ne pouvait pas demander de l'aide. Elle a tenté de respirer, mais n'a pas pu. Jessica a indiqué qu'elle était dans le sac de 23h40 à 1h30 du matin, presque mourante et asphyxiée. Tragiquement, juste un jour plus tard, Norma est décédée et a été incinérée ce jour-là. En conséquence de cette erreur, deux certificats de décès ont été émis pour Norma. Le premier, publié par erreur, indiquait qu'elle était morte d'une infection. Les responsables de l'hôpital, le Comité d'éthique médicale du Brésil et la Commission de la mort enquêtent désormais sur la manière dont elle a été envoyée à la morgue alors qu'elle était encore en vie. La famille de Norma n'a pas encore reçu de cause officielle de décès​​. Ce cas n'est pas isolé en Amérique latine. En juin de la même année, un cas similaire s'est produit en Équateur. Bella Montoya, 76 ans, avait été déclarée morte, mais a horrifié ses proches en frappant à l'intérieur de son cercueil pendant la veillée, après avoir passé cinq heures à l'intérieur. Elle est décédée une semaine plus tard après avoir été en soins intensifs. Le ministère de la Santé de l'Équateur a déclaré qu'elle était restée sous "surveillance permanente", sans fournir d'informations supplémentaires sur l'enquête médicale entourant l'affaire. Ces incidents soulèvent des questions sérieuses sur les protocoles médicaux et les procédures de déclaration de décès dans les hôpitaux. Ils mettent en lumière la nécessité d'une plus grande prudence et d'un contrôle plus strict pour éviter de telles erreurs tragiques et perturbantes à l'avenir.