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Arts et People

“Un contrôle total sur lui” : une étudiante pousse son petit-ami au suicide et parvient à échapper à la prison

1/6 - Elle le pousse au suicide Aux Etats-Unis, une étudiante a poussé son petit ami jusqu'au suicide en 2019. En plaidant coupable, elle a passé un accord avec la justice afin d'éviter la prison. Aux Etats-Unis, une étudiante a poussé son petit ami jusqu'au suicide en 2019. En plaidant coupable, elle a passé un accord avec la justice afin d'éviter la prison.  Une histoire incroyable comme il ne peut en exister qu'aux Etats-Unis. En 2019, une étudiante américaine a été inculpée pour la mort de son petit ami. Pourtant, elle ne l'avait pas tué mais... poussé au suicide. Lors de son jugement, elle a décidé de plaider coupable afin de pouvoir passer un accord avec la justice lui permettant d'éviter de se faire emprisonner. "Cet accord avec l'avocat de la défensea été conclu en étroite consultation avec la famille de la victime afin de protéger l'héritage d'Alexandre, un fils, un frère et un oncle aimant". La jeune femme, âgée de 23 ans, a finalement décidé d'assumer la responsabilité de ses actes. Une partie de l'accord qu'elle a conclu avec les procureurs stipule que l'accusée ne peut tirer aucun profit de l'affaire en vendant son histoire à qui que ce soir. Elle a été condamnée à deux ans de prison avec sursis et dix ans de probation, en plus de 300 heures de travaux d'intérêt général et à une obligation de soins. "Va mourrir", "suicide toi"... L'adolescente lui a envoyé plus de 75.000 messages Pendant son enquête, la police a découvert de nombreux messages dans le téléphone de la victime envoyés par la jeune femme et qui prouvent son rôle dans le suicide de son compagnon. D'après les forces de l'ordre, cette dernière a "abusé physiquement, verbalement et psychologiquement" au cours de sa relation de 18 mois. Fait encore plus accablant : deux mois après son suicide, les deux adolescents ont échangé... au moins 75.000 messages. Dont plusieurs stipulant des ordres comme "va te tuer", "va mourir" et que sa "famille et le monde seraient mieux sans lui". "Vous aviez un contrôle total et complet sur lui", ont écrit les autorités dans leur rapport, avant d'ajouter : "Nous avons aussi appris qu'elle était au courant de ses tendances dépressives et de ses pensées suicidaires dues aux abus qu'il subissait. Et malgré ça, elle a continué à l'encourager à se donner la mort". Le jour du suicide du garçon, elle aurait fait en sorte de géolocaliser son téléphone afin de le rejoindre sur le parking où il s'est donné la mort. Oui, une histoire glaçante. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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