Un cauchemar éveillé ! Elle rentre chez elle et découvre que du sang coule sur ses murs
1/6 -
Du sang a commencé à couler sur les murs de son appartement. Elle n'a pas mis longtemps à comprendre qu'il s'agissait de sang, d'autant qu'une odeur nauséabonde a rapidement envahi l'appartement.
En rentrant chez elle, une jeune new-yorkaise de 35 ans a découvert que les murs de son appartement étaient recouverts de sang. Une scène d'horreur se déroulait juste au-dessus d'elle.
Un "film d'horreur plus vrai que nature". En octobre dernier, une jeune new-yorkaise de 35 ans a découvert que son voisin du dessus était mort en voyant son sang couler sur les murs de son appartement. Tout a commencé cinq jours avant Halloween. Après avoir promené son chien, Elizabeth Parker a ouvert la porte de son appartement du quartier de Harlem, au nord de Manhattan. Au sol, elle a constaté la présence d'une large tâche de couleur rouge. Elle n'a pas mis longtemps à comprendre qu'il s'agissait de sang, d'autant qu'une odeur nauséabonde a rapidement envahi l'appartement.
"Je ne sais pas ce qu'il y a dans le plafond, je ne sais pas ce que je respire", l'entend-on dire dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux. Sans attendre, la jeune Elizabeth a contacté les autorités, qui ont découvert le corps sans vie de son voisin dans l'appartement du dessus. La dépouille de l'homme, décédé de "causes naturelles" depuis "trois ou quatre jours", selon les légistes, servait de plat de résistance à son chien.
"Personne ne devrait avoir à vivre ça"
Mais le cauchemar ne s'est pas arrêté là. Pendant deux semaines, le propriétaire du logement de Parker a filtré ses appels, l'obligeant à vivre dans un appartement souillé par les traces et l'odeur de sang. Ce n'est qu'après l'intervention du New York Post, qui a relayé la terrible mésaventure de la jeune new-yorkaise, que les partis concernés ont enfin pris les dispositions nécessaires. "Nous présentons nos condoléances à la famille du défunt et regrettons les désagréments subis par Mlle Parler", a déclaré un porte-parole du promoteur immobilier Genesis Companies.
De son côté, Elizabeth Parker s'avoue traumatisée par l'évènement, qu'elle qualifie de "film d'horreur plus vrai que nature". "Vous savez ce qu'on dit, 'vous avez ce pour quoi vous payez', confie-t-elle en référence à son appartement de Harlem, bon marché mais source de nombreux problèmes. Mais personne ne devrait avoir à vivre ça", s'attriste-t-elle.