Un carnage ! Un riche rentier pris d'un coup de folie meurtrier sans raison apparente
1/6 -
Un carnage ! Un riche rentier pris d'un coup de folie meurtrier sans raison apparente Qu'est ce qui a poussé Éric G à commettre un tel massacre un soir de novembre 2019 à Montauban ?
Un riche rentier est accusé d'avoir tué ses deux locataires sans raison apparente en novembre 2019. Après deux ans d'enquête, le mystère reste entier.
Qu'est ce qui a poussé Éric G à commettre un tel massacre un soir de novembre 2019 à Montauban ? C'est la question que se posent les enquêteurs après deux années d'investigation, rapporte le journal Le Parisien. Ce propriétaire de douze appartements sera jugé prochainement devant la cour d'assises pour le double meurtre d'Émilie, 38 ans, et de sa belle-fille Laura, 18 ans.
Le drame s'est déroulé dans la nuit du 13 au 14 novembre 2019, dans un quartier résidentiel de cette ville du Tarn-et-Garonne. C'est Mehdi, le fils d'Emilie, rescapé du massacre, qui retrace la chronologie des faits. Car le meurtrier présumé se dit, depuis son arrestation le 3 décembre 2009, "incapable de retracer le fil de cette funeste soirée", écrit Le Parisien.
Le jeune homme se souvient des cris de sa mère
Le jeune homme se souvient des cris de sa mère et d'Éric G qui s'acharne sur elle à coups de fusil. Ne parvenant pas à s'interposer, il retourne à l'étage retrouver sa petite amie restée dans la chambre. C'est en tentant de prendre la fuite que cette dernière est tuée d'un coup de fusil. Mehdi parvient alors à frapper l'assaillant avant de prendre la fuite. Réfugié chez un voisin, il prévient les pompiers vers 4h du matin. Mais il est déjà trop tard, sa mère et sa petite amie sont mortes.
Le Parisien rappelle que Mehdi avait été incarcéré dans un premier temps puis innocenté suite à la découverte de l'ADN d'Éric G sur la scène de crime. Mais "psychologues et enquêteurs n'ont jamais réussi à comprendre la folie meurtrière qui s'est emparée d'Éric G", déplore le quotidien. Après deux ans d'enquête, l'affaire piétine. Seule mobile possible, selon les informations du journal, "cette dette de loyer de 2 900 euros, mais elle semble dérisoire à l'échelle du patrimoine de ce riche rentier".
Loading widget
Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités