TÉMOIGNAGE. “J’ai décidé de facturer cette somme à mes proches pour le repas de Noël”

La période des fêtes de fin d'année est traditionnellement associée à la convivialité, à la générosité, et surtout, aux retrouvailles familiales autour de repas copieux. Cependant, pour Carla Bellucci, une Britannique qui a déjà fait parler d'elle, cette période est marquée par une décision inhabituelle et controversée : elle a opté pour facturer chaque membre de sa famille 150 livres sterling, soit environ 175 euros, pour assister au dîner de Noël chez elle. Cette décision, loin d'être anodine, a rapidement suscité un tollé et ouvert un débat sur la monétisation des relations familiales et des traditions. Carla Bellucci, souvent décrite comme "la femme la plus détestée de Grande-Bretagne", justifie cette approche en arguant qu'elle ne devrait pas être "à découvert" après avoir consacré du temps et des efforts à préparer le repas festif, comme l'explique The Mirror. Cette démarche est conforme à sa philosophie de vie orientée vers le profit, une position qui l'a déjà placée au cœur de controverses publiques par le passé. En effet, Bellucci est connue pour avoir admis avoir feint la dépression afin d'obtenir une rhinoplastie financée par le NHS, ce qui lui a valu une renommée négative à l'échelle nationale. L'histoire de Carla Bellucci révèle non seulement une tendance à défier les normes sociales, mais soulève également des questions éthiques et morales. Son choix de transformer un événement familial traditionnellement non-commercial en une opportunité de profit interroge sur les limites entre les sphères privée et commerciale. Si vous souhaitez assister au repas de Noël, vous allez devoir payer Carla Bellucci, souvent désignée comme "la femme la plus détestée de Grande-Bretagne", a pris la décision de facturer les membres de sa famille pour le repas de Noël. Pour 175 euros par personne, le menu comprend un dîner complet de dinde et une coupe de Champagne. Bellucci justifie son choix en affirmant qu'un tel repas ne serait pas moins cher dans un restaurant ou un hôtel le jour de Noël, et qu'elle ne devrait pas en subir les coûts. L'histoire de Carla Bellucci est marquée par des décisions controversées. En 2019, elle a reconnu avoir simulé une dépression pour bénéficier d'une chirurgie esthétique gratuite via le système de santé britannique, ce qui lui a valu le titre de "femme la plus détestée de Grande-Bretagne". Cette révélation lui a valu de nombreuses critiques du public, y compris l'appellation de "parasite du NHS" par le présentateur Phillip Schofield, bien qu'elle ait défendu sa décision. En plus de cette controverse, Carla Bellucci a également fait part de son investissement mensuel d'environ 235 euros dans l'apparence de sa fille Tanisha, incluant des extensions de cheveux, des soins des ongles et du maquillage. Elle a exprimé le souhait que sa fille suive ses pas en matière de chirurgie esthétique, envisageant des interventions telles que des fillers, du Botox et éventuellement des implants mammaires. L'approche commerciale de Carla Bellucci envers le repas de Noël soulève des débats sur les limites de la commercialisation dans le cadre familial et interroge sur la transformation des traditions familiales en transactions financières. Cette histoire, qui suscite à la fois indignation et fascination, met en lumière la complexité des relations familiales à l'ère moderne, où la frontière entre le personnel et le financier semble s'estomper​​​​​​​​​​.