Sarah Ferguson : ses confessions fleuves inattendues et cash sur ses années sombres avec la “sainte Diana”
À l'instar de la princesse Diana, son amie et belle-soeur, Sarah Ferguson a également beaucoup souffert des tabloïds. Une période difficile sur laquelle l'ex-épouse du prince Andrew est revenue dans une interview accordée au magazine People.
Sarah Ferguson a été la cible des moqueries des tabloïds durant les années 1980. Jugée vulgaire, sans classe, trop enrobée, la presse britannique avait même été jusqu'à la surnommer la "duchesse of Pork", en référence à son titre de duchesse d'York, comme le rapporte un article du Point paru ce jeudi 22 juillet. Des années difficiles pour l'ex-épouse du prince Andrew sur lesquelles elle a accepté de revenir dans un entretien accordé au magazine People.
Parmi ce qui a été le plus difficile à encaisser pour la mère des princesse Beatrice et Eugenie, c'est la comparaison incessante avec sa belle-sœur de l'époque, la princesse Diana. "Nous étions positionnées en tant que sainte et pécheresse. Dans les années 1980, il y avait Diana, qui était belle, et Fergie, grosse et mal fagotée", a indiqué Sarah Ferguson. Et d'ajouter : "Nous étions juste là pour que cette presse gagne beaucoup d'argent. À l'époque, nous n'en avions pas conscience toutes les deux. La chose la plus importante était de rester solides ensemble, et nous l'avons fait, peu importe ce que les gens écrivaient."
De quels problèmes de santé a souffert Sarah Ferguson ?
Amies de longue date, c'est d'ailleurs Diana qui a présenté Sarah Ferguson a son futur époux, le prince Andrew, les deux femmes ont su restersoudées face aux attaques répétées des tabloïds. "Diana et moi avions nos propres problèmes de santé mentale et nous avions l'habitude d'en parler, a confié Sarah Ferguson à People. Elle me disait : 'Fergie, souviens-toi d'une chose : quand tu es en haut du piédestal, il est si facile d'en tomber. Et toi, tu es en bas. Tu dois juste grimper'." Elles se sont également serrées les coudes au moment de leur divorce face au clan des Windsor. Trente ans après, cette période a laissé des traces chez la duchesse d'York : "J'ai eu de gros problèmes de santé mentale à cause de ce traumatisme. Cela m'a demandé beaucoup de travail parce que je croyais chaque mot que les premières pages des tabloïds publiaient sur moi. J'avais honte de moi. Je suis d'une sensibilité stratosphérique."
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