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Arts et People

"Tout le monde est sur le cul" : Christophe Dechavanne dévoile ses orientations politiques

Ce samedi 24 septembre, Christophe Dechavanne fera son grand retour à la télévision. Au côté de Léa Salamé, l'animateur laissera-t-il ses opinions politiques prendre le dessus ? Christophe Dechavanne se lance un nouveau défi ! Dès ce samedi 24 septembre, l'animateur va reprendre du service sur France 2. Au côté de Léa Salamé, il va co-animerQuelle époque, le nouveau talk show du samedi soir après l'arrêt d'On est en direct et le départ de Laurent Ruquier. Dans cette émission, la journaliste compte se lâcher. Et l'animateur mythique de Coucou c'est nous va lui aussi utiliser la liberté de ton qui l'a fait connaître. "On me l'a toujours dit. Je reviens à mes premières amours d'avant-guerre : Ciel, mon mardi !, Comme un lundi, Du fer dans les épinards... On me disait : 'c'est bien parce qu'on pense un truc et toi, paf, tu le dis'. Donc, je pense être dans ce genre. Je suis comme tout le monde", se réjouissait-il sur les ondes de France Inter. Sur le plateau de Quelle époque, la politique n'aura pas franchement sa place. Mais ça n'empêche pas l'animateur d'oser parler de ses convictions à coeur ouvert. "Moi j'ai toujours voté à gauche, mais on s'est fait un peu niquer. On a eu une grande confiance envers les gens, et ils n'ont pas forcément rendu la pareille, analysait-il à la radio. Je ne peux pas être autrement politisé, parce que je vis dans un monde et dans une société, mais c'est compliqué aujourd'hui d'être d'un côté."Christophe Dechavanne défendait alors son point de vue. "J'ai des pensées, j'ai des idées. Il y a des choses qui m'énervent, qui m'amusent, qui m'intéressent, qui m'ennuient", lançait le père de Ninon sur l'antenne de France Inter. Christophe Dechavanne : "Je suis bienveillant, je n'ai rien à cacher" "Là, on est tout de même dans une société très différente parce que tout est quand même embêtant. On ne peut pas dire que la vie soit très fun, que ce ne soit pas du tout anxiogène", ajoutait-il. Invité au lendemain de cette déclaration sur Europe 1, Christophe Dechavanne a expliqué qu'il ne comptait pas forcément parler de ses opinions sur les tournages de Quelle époque. "Est-ce que ça va s'entendre ou est-ce que vous allez garder vos opinions pour vous ?", lui a demandé Philippe Vandel. Et son invité de répondre, sans aucune langue de bois : "Non, la preuve, c'est que j'ai toujours voté à gauche et que tout le monde est sur le cul". A ses côtés dans l'émission Culture Médias, Léa Salamé a reconnu n'avoir jamais pensé qu'il "vote à gauche". "Je veux être transparent, je suis un honnête homme, je suis bienveillant, je n'ai rien à cacher, a ajouté Christophe Dechavanne. Aller avec Léa et être vraiment moi sans posture, c'est encore mieux." D'ailleurs, c'est en partie pour cela que France 2 et la journaliste ont décidé de contacter l'animateur pour lui proposer de revenir à la télévision. "On s'est retrouvé avec les producteurs en se disant : 'qui on aimerait avoir ? Il faudrait quelqu'un qui, à la fois mette le feu, et à la fois ait un regard sur la société', s'est souvenue Léa Salamé sur les ondes d'Europe 1, ce vendredi 23 septembre. On ne cherchait pas uniquement un amuseur ou un animateur, encore moins un sniper. On voulait quelqu'un qui avait quelque chose à dire." Tout Christophe Dechavanne donc ! Christophe Dechavanne : sa critique acerbe à Jean-Luc Mélenchon Ce samedi 24 septembre, Léa Salamé et Christophe Dechavanne recevront notamment Jean-Luc Mélenchon. Sur le plateau de Quelle époque, l'ex-candidat à la présidentielle devrait notamment être interrogé sur la polémique de la gifle assénée par Adrien Quatennens à son ancienne compagne. Et l'animateur ne devrait pas faire de cadeau à son invité, puisqu'il l'a plusieurs fois critiqué. "Près de 4,5 millions de personnes qui ont voté Melenchon participeraient donc activement à l'éventualité d'une gouvernance d'extrême droite et tout ce qui va avec, s'était étonné Christophe Dechavanne lors de l'entre deux-tours en avril dernier après la publication d'un sondage. J'avoue que je ne comprends rien à cette société-là. Mais alors rien du tout. Peut-être allez-vous dire quelque chose de fort et républicain à ceux qui vous font confiance et qui sont, comme vous, des citoyens qui méritent que vous les protégiez." Ca promet.

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