“Qu'elle s'envoie en l'air un peu plus souvent” : Pierre-Jean Chalençon allume Caroline Margeridon
A l'occasion d'une interview pour France Dimanche, Pierre-Jean Chalençon s'est quelque peu lâché au sujet de Caroline Margeridon.
Décidément, Pierre-Jean Chalençon est très rancunier. A l'occasion de sa soirée spéciale intitulée Chalençon fait sa révolution, organisée le 29 juin prochain, l'ancien acheteur d'Affaire conclue est revenu pour France Dimanche, sur sa dispute avec Caroline Margeridon.Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'y va pas de main morte : "Cette femme est folle", commence-t-il par déclarer avant de poursuivre : "Elle me doit beaucoup. Sans moi, Caroline Margeridon n'est rien. Elle est la méchanceté même, il faudrait qu'elle s'envoie en l'air un peu plus souvent, je pense. J'ai été suffisamment gentil, j'ai fermé ma gueule, maintenant ça suffit", lance-t-il avec un franc parler bien célèbre.
S'il ne souhaite pas se réconcilier avec Caroline Margeridon, Pierre-Jean Chalençonaimerait faire son retour à la télévision, lui qui a été évincé de France 2 : "J'ai deux projets en tête depuis longtemps. Je voudrais lancer une émission sur le Palais Vivienne, un peu à la Thierry Ardisson et puis une autre de variétés dans l'après-midi. Mon rêve, ce serait un spectacle un peu cabaret, un peu Paradis Latin", confie-t-il. Selon lui, la télévision d'aujourd'hui l'a catégorisé dans une case et ne lui laisse pas la chance de s'épanouir.
Pierre-Jean Chalençon, toujours aussi cash
En effet, Pierre-Jean Chalençon a dévoilé ce qu'il pensait de la télévision d'aujourd'hui et pense même être un bouc-émissaire : "J'estime que je suis un peu le dernier trublion du PAF, celui qui dit tout haut, ce que les autres pensent tout bas, cela ne plaît pas toujours. Avant la télé, je ne demandais rien à personne. Je suis devenu le mec que toute la télévision s'arrachait. Ils ont créé un monstre, ils devront vivre désormais avec". Des déclarations chocs pour un Jean-Pierre Chalençon qui reste égal à lui-même. N'en déplaise à ses détracteurs.