Princesses Eugenie et Beatrice : la sécurité des deux sœurs a coûté très cher à la famille royale
Alors que le prince Harry a dénoncé le fait de ne plus avoir de protection de la part de la famille royale depuis son départ pour Los Angeles, The Mirror rappelle que jusqu'en 2011, deux princesses ont vus, elles aussi, leur protection retirée sur ordre du prince Charles.
Au sein de la famille royale, la hiérarchie a un poids déterminant. Désormais installé en Californie avec son épouse Meghan Markle et leurs enfants, le prince Harry a fait part il y a quelques jours d'un communiqué, dans lequel il reproche à la famille royale, mais surtout à la police britannique, de lui avoir retiré tout droit de faire appel aux services des policiers pour lui assurer une protection lors de ses voyages au Royaume-Uni. Alors que le duc et la duchesse de Sussex ont récemment été invités par le prince Charles à venir y séjourner, ils ont déploré ne pas se sentir en sécurité.
Une polémique relancée, après que quelques mois plus tôt le prince Harry ait dénoncé que lorsqu'il a renoncé à son statut de membre senior de la famille royale, sa protection policière a été levée, l'obligeant à faire appel à des sociétés privées afin d'assurer sa sécurité. Mais outre lui et Meghan Markle, deux autres membres de la famille royale ont vu, il y a quelques années, leur privilège d'être protégés aux frais du contribuable britannique levé. Et il s'agit des princesses Beatrice et Eugenie. En 2011, le prince Charles a en effet ordonné que ses nièces ne privilégient plus de ce droit, entre autres après que la cadette des filles du prince Andrew ait dépensé pas moins de 100 000 livres, soit près de 120 000 euros, de frais de sécurité lors de son année sabbatique où elle a voyagé en Inde, en Amérique, en Thaïlande et en Afrique du Sud.
Le prince Andrew "furieux" de la levée de ce privilège
Si elle a payé elle-même les hôtels et les billets d'avion, l'énorme facture de sécurité, y compris les heures supplémentaires, a été financée par le contribuable, précise ainsi The Mirror. "Elle volait d'un pays à l'autre comme le font la plupart des jeunes de la classe moyenne qui prennent des années sabbatiques. Mais, bien sûr, elle était accompagnée de gardes du corps de la police", précise ainsi l'expert royal Richard Kay. Intervenu pour contrôler les dépenses, le prince Charles avait retiré ce privilège à ces nièces, faisant alors valoir le fait qu'elles avaient peu de chances d'accéder un jour au trône. De quoi rendre le prince Andrew "furieux". Désormais, les deux princesses disposent d'une sécurité, payée de leur propre poche.
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