Mort de Patrick Juvet : un appel lancé pour retrouver un héritier insoupçonné
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Mort de Patrick Juvet : un appel lancé pour retrouver un héritier insoupçonné Le 1er avril 2021, l'agent de Patrick Juvet annonçait la mort de ce dernier. Le célèbre chanteur de disco décédé à Barcelone des suites d'une insuffisance cardiaque, n'avait ni conjoint, ni enfants. Qui héritera donc des biens de l'artiste ?
Le 1er avril 2021, l'agent de Patrick Juvet annonçait la mort de ce dernier. Le chanteur, décédé d'une insuffisance cardiaque, n'avait ni conjoint ni enfant. Qui héritera donc des biens de l'artiste ?
Patrick Juvet avait pourtant une idée bien précise de ses dernières volontés, mais n'avait jamais pris le temps de rédiger un testament. C'est le journal Le Monde qui publie ce 8 juillet 2021 dans sa version papier un appel en héritier : "Ses héritiers ayant réclamé l'inventaire de la succession le 18 juin 2021, Maitre Pascal Hofer, notaire, somme les créanciers et les débiteurs du défunt de produire leurs créances/dettes jusqu'au 30 septembre à l'adresse : Maitre Pascal Hofer, Avenue du Collège 6, 2017 Boudry, Suisse."
Si le chanteur a fini par replonger dans l'alcool, il avait pourtant remonté la pente en 2010. Apaisé, il n'avait pas hésité à évoquer son testament et à dévoiler ses généreuses intentions à France Dimanche : "Je n'ai pas fait de testament, mais j'aimerais léguer tout mon argent aux enfants défavorisés (...) Je souhaite aussi que ma maison au Brésil devienne un lieu de vacances destiné aux enfants qui ne peuvent pas s'en offrir..."
Patrick Juvet, abîmé par la solitude
Malgré ses efforts pour ne pas perdre pied, la solitude et les échecs sentimentaux ont poussé Patrick Juvet à succomber de nouveau à l'alcool : "Depuis la disparition de sa mère, il m'appelait parfois, saoul, en pleine nuit (...) Il avait le cœur fragile, abîmé par une consommation excessive d'alcool." avait confié un de ses amis.
Ses proches confessent que les restrictions liées à la crise sanitaire l'ont rendu encore plus seul, et ont fini par le tuer : "Il ne s'est pas suicidé mais s'est laissé mourir de désespoir. Le Covid l'a tué à petit feu"
Si l'interprète de "Où sont les femmes" n'a jamais officialisé ses volontés auprès d'un notaire, c'était surtout par superstition. L'artiste avait peur que le passage chez le notaire accélère la venue de sa mort : "Pourtant je n'en ai pas du tout peur. Je suis même persuadé qu'il y a un 'après', que nous ne sommes que 'de passage.' Bref, je crois en la réincarnation !"
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