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Arts et People

"Moi, ça m'est arrivé" : Léa Salamé raconte une rare anecdote personnelle en direct 

Ce mardi 5 juillet, Léa Salamé a reçu Claire Hédon, Défenseure des droits qui est venue sur le plateau de France Inter pour évoquer la question de la dématérialisation des pouvoirs publics. L'occasion pour la journaliste de raconter une anecdote qui l'a mise en rogne. Avec l'annonce du nouveau gouvernement, le 4 juillet 2022, la matinale de France Inter le lendemain était en émulation. En effet, Nicolas Demorand et Léa Salaméont reçu Olivier Véran, nouveau porte-parole mais aussi Claire Hédon, Défenseure des droits, venue parler de la dématérialisation des services publics. Si elle en tire des avantages, elle est aussi très critique. En effet, cette dernière regrette que depuis la mise en place de la dématérialisation de tous les services, plus aucun humain ne soit là pour répondre aux questions des Français. "Elle est certes une chance, mais il faut maintenir les accueils physiques. Il faut remettre de l'humain dans la machine", tient-elle à préciser. Un point de vue également défendu par Léa Salamé qui a profité de la présence de Claire Hédon pour raconter une anecdote assez personnelleà ce sujet : "Pour tout le monde, parce qu'il n'y a pas assez de personnes qui gèrent les rendez-vous. Désolée, je vais le redire au gens, je l'ai déjà dit il y a un mois : moi ça m'est arrivé", commence-t-elle par décrire, avant de poursuivre : "Pour renouveler mon passeport, je ne pouvais pas prendre de rendez-vous. J'allais tous les jours sur le site pour essayer de prendre un rendez-vous. Il n'y avait pas de rendez-vous". Léa Salamé, en rogne contre les pouvoirs publics Léa Salaméraconte alors le créneau assez étonnant qu'on lui a donné pour refaire son passeport : "Eh bien il y a des rendez-vous qui se libèrent dans la nuit de dimanche à lundi à 5h00 du matin. Voilà je tiens à le dire aux gens", lance-t-elle. Claire Hédon lui rétorque alors : "Vous vous levez très tôt le matin, c'est ça qui vous a permis...", avant d'être coupée par la journaliste de France Inter, visiblement agacée par la situation : "J'ai passé un mois pour avoir un rendez-vous pour que quelqu'un me dise : 'ah bah c'est dans la nuit de dimanche à lundi'".

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