Meghan Markle "obsédée" : cette demande incessante qui a sonné le glas de ses relations avec ses media trainers
Meghan Markle aurait été obsédée à l'idée de répondre à une rumeur la concernant, comme l'a indiqué Valentine Low dans son ouvrage dont la sortie est prévue ce jeudi 6 octobre.
En janvier 2020, le prince Harry et Meghan Markle ont annoncé leur intention de quitter la famille royale. Une nouvelle qui a fait l'effet d'une bombe et qui n'a toujours pas été digérée par les Windsor mais aussi les Britanniques. Par la suite, ils ont enchaîné les révélations plus explosives les unes que les autres durant différentes interviews et celles-ci ont fait beaucoup parler. Les Sussex sont constamment au centre de l'attention et ils ont été évoqués dans le nouveau livre de Valentine Low, dont la sortie est prévue ce jeudi 6 octobre. Un extrait a été dévoilé par le New York Post et, dans celui-ci, elle est revenue sur la rumeur indiquant que Meghan Markle aurait fait pleurer Kate Middleton en 2018, lors de l'essayage de sa robe de demoiselle d'honneur. A l'époque, Buckingham Palace n'avait pas souhaité réagir et faire un démenti. Une décision qui, selon les propos tenus par Valentine Low, n'a pas plu à la duchesse de Sussex. En effet, elle aurait été "obsédée" à l'idée de donner sa version des faits. "La vérité est qu'après l'essayage de la robe, Meghan était devenue obsédée par le fait d'essayer de persuader le bureau de presse du palais de publier quelque chose niant l'histoire", indique-t-elle dans son ouvrage. Un sujet qui serait rapidement devenu un point de discorde entre Meghan Markle et Buckingham Palace.
Cette rumeur avait beaucoup fait parler et, selon Valentine Low, il était important pour Buckingham Palace de ne pas y réagir. "Le palais était catégorique sur le fait que ce serait une grave erreur de commencer à informer sur des histoires personnelles relatives aux différences entre les membres de la famille royale", a-t-elle indiqué. Par la suite, elle précise que le palais ne voulait pas "créer un précédent laissant penser que l'on peut commenter la vie personnelle". Pour rappel, aucune information privée n'est dévoilée sur les réseaux sociaux puisque les Windsor n'ont pas de compte personnel. "C'est devenu un point de discorde majeur entre Meghan et ses conseillers médias", a-t-elle assuré ensuite. De son côté, c'est lors de l'interview accordée à Oprah Winfrey en 2021 que Meghan Markle avait pu livrer sa version des faits. Elle avait ainsi assuré que c'était l'inverse qui se serait produit avant de tempérer ses propos et de tenter d'apaiser les tensions. "Je ne dis pas ça pour dénigrer qui que ce soit car ce fut une semaine très difficile. Elle était bouleversée par quelque chose, mais elle a tout reconnu et elle s'est excusée. Elle m'a offert des fleurs et un mot, tout en s'excusant", avait-elle affirmé. Des révélations qui n'étaient pas passées inaperçues et qui auraient contrarié Kate Middleton. "Elle sentait que l'incident était réglé, donc le faire revenir était mortifiant", avait révélé la spécialiste royale Katie Nicholl.
Meghan Markle et le prince Harry : pourquoi ont-ils peur d'être exclus de la famille royale ?
Depuis qu'ils ont quitté la famille royale, les Sussex font constamment parler d'eux. Toutefois, comme l'a révélé le Daily Mail le 29 septembre dernier, le prince Harry et son épouse ont "peur d'être petit à petit exclus de la famille royale", a expliqué Phil Dampier, un biographe royal. "Le roi Charles III semble hésiter beaucoup quant à l'idée de donner un titre royal à Archie et Lilibet", poursuit-il avant d'ajouter : "Le fait que leurs noms aient également été déplacés sur le site des Windsor indique qu'ils ne sont pas considérés comme étant des membres de la famille royale actifs". En effet, le tabloïd avait révélé quelques jours plus tôt que les noms du prince Harry et de Meghan Markle avaient été déplacés puisque ceux-ci se trouvaient au départ au milieu de la page. Ils sont désormais à côté de celui du prince Andrew, démis de ses fonctions officielles après avoir été mêlé au scandale sexuel du milliardaire pédophile Jeffrey Epstein. Un changement qui semble les avoir beaucoup touchés et dont ils ont du mal à se remettre.