Meghan Markle : la charge au vitriol de Donald Trump contre la duchesse de Sussex
Même s'il n'est plus président des Etats-Unis, Donald Trump a réitéré ses offensives contre Meghan Markle à coup de charges au vitriol, en revenant sur le départ du couple Sussex dans un entretien avec Nigel Farage, l'ancien leader d'UKIP.
Le temps n'a visiblement pas apaisé l'animosité que Donald Trump nourrit pour Meghan Markle. En 2019, le prince Harry et son épouse ont annoncé leur départ de la famille royale en renonçant à leurs engagements officiels et leurs statuts de membres seniors. Il n'avait alors pas fallu longtemps aux détracteurs du couple de monter au créneau pour dénoncer leurs agissements, comme Donald Trump, qui avait assuré qu'il ne débourserait pas un centime pour leur protection alors qu'ils avaient choisi de vivre à Los Angeles. Une aide jamais sollicitée par les Sussex, notamment parce que l'ancien président des Etats-Unis n'a jamais fait partie de leur personnalité politique favorite, loin de là. Ce que celui-ci a du mal à digérer, même des mois plus tard.
Déjà auteur de plusieurs remarques sur Meghan Markle, qu'il avait notamment qualifiée de"méchante", avant de revenir sur ses propos, Donald Trump a de nouveau lancé une charge contre la duchesse de Sussex, dans un entretien avec Nigel Farage, l'ancien leader d'UKIP, relayé par le Daily Mail. Assénant ne pas être "un fan" de l'épouse du prince Harry, et ce "depuis le premier jour", l'ancien président a dénoncé ce qu'il voit comme une manipulation. "Je pense qu'Harry a été horriblement utilisé et je pense qu'un jour il le regrettera. [...] Je pense que cela a ruiné sa relation avec sa famille et cela fait mal à la reine", a-t-il ainsi confié, la qualifiant au passage d'"irrespectueuse" vis-à-vis de la famille royale, mais surtout, de la reine Elizabeth II.
Donald Trump reproche "des choses inappropriées" à Meghan Markle
Pire encore, Donald Trump ne digère pas l'engagement de Meghan Markle lors des élections présidentielles de 2019 aux Etats-Unis, durant laquelle elle avait soutenu le parti démocrate et le candidat Joe Biden. A cette époque, la duchesse de Sussex, et le prince Harry, avaient appelé les américains à aller voter, multipliant les messages vidéos poignants et textes sur l'importance d'un tel acte politique pour se faire entendre. Une prise de position rapidement qualifiée d'"ingérence"dans une élection étrangère par les équipes de Donald Trump, qui accusaient la duchesse d'utiliser son titre pour intervenir dans la politique, malgré sa citoyenneté américaine. "Elle essaie de faire des choses que je pense très inappropriées", a asséné le mari de Melania Trump, qui compte bien ne pas en rester là avec la duchesse, qu'il encourage à se présenter pour l'élection de 2024, afin de la défier.
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