Meghan et Harry : comment ils se sont sentis "bénis par la magie de Diana" lors d'un voyage

Meghan et Harry ont effectué une tournée triomphale en Australie en 2018. Le duc et la duchesse de Sussex ont été persuadés que la magie de la princesse Diana y était pour quelque chose. Le prince Harry n'avait que 12 ans quand la princesse Diana a été tuée dans un triste accident de voiture. La mort de la mère du duc de Sussex a eu un impact énorme sur la santé mentale du prince Harry, rapporte The Mirror, dans son article du 8 novembre 2022. L'époux de Meghan Markle, duchesse de Sussex, 41 ans, a toujours été ouvert à propos de la façon dont la princesse Diana, princesse de Galles, l'a influencé. D'une certaine manière, le prince Harry, 38 ans, garde sa mère proche de lui au quotidien. En même temps, le père de Archie et de Lilibet inculque également ses souvenirs à ses propres enfants, rapporte le Mirror. Citant l'œuvre de l'auteur royal Tom Bower, le média britannique revient sur un séjour du duc et de la duchesse de Sussex datant de 2018. Le prince Harry, 38 ans, et Meghan Markle, 41 ans, ont effectué une tournée réussie de 16 jours cette année-là. Le couple Sussex a fait le tour de l'Australie, de la Nouvelle-Zélande, de Tonga et des Fidji. Tom Bower, journaliste d'investigation et auteur, avance que le duc et la duchesse de Sussex avaient le sentiment d'avoir été "bénis par la magie de Diana". L'auteur a mentionné que la tournée de Harry et de Meghan en Australie rappelait celle faite par Charles et Diana en 1983. Meghan et Harry : la duchesse et le duc de Sussex auraient mal compris les choses selon Tom Bower Tom Bower, auteur de Revenge : Meghan, Harry and the War with the Windsors, suggère que les Sussex étaient persuadés que le triomphe de leur tournée était dû à la bénédiction de la magie de Diana. Pourtant, la défunte mère du prince Harry, duc de Sussex, avait passé plusieurs années à construire son image publique, soutient l'auteur. Une chose que Meghan Markle, duchesse de Sussex, ne pouvait pas comprendre. Selon Tom Bower, "ni elle ni Harry ne pouvaient comprendre qu'il fallait du temps pour imiter Diana, pour tisser un récit et créer une marque d'où découlerait l'influence".