Marine Le Pen : l'indiscrétion de son attachée de presse sur ce que la candidate pense de son physique

Dans sa dernière vidéo, Magali Berdah passe 24 heures avec Marine Le Pen et son équipe. L'occasion pour l'attachée de presse de la candidate de se livrer à quelques confessions sur le physique de la candidate RN. Après avoir passé une journée avec Éric Zemmour puis avec Jean-Luc Mélenchon, c'est avec Marine Le Pen que Magali Berdah a passé 24 heures dans le cadre d'une vidéo postée sur sa chaîne YouTube. Durant la campagne présidentielle, la célèbre agent des stars de télé-réalité a décidé de suivre tous les candidats et d'interroger les membres de leur équipe. C'est dans le sud-est de la France qu'elle a rejoint la candidate du Rassemblement National. Une vidéo dans laquelle Caroline Parmentier, l'attachée de presse de Marine Le Pen, se livre à quelques indiscrétions sur le physique de la candidate. "J'ai longtemps mené une lutte contre les photos de Marine que je trouvais moche. Quand je suis arrivée, l'habitude était de la prendre affreuse. Je pense que les rédactions ne faisaient pas attention. Parfois, elle était traité de façon injuste", estime Caroline Parmentier. Quand Magali Berdah demande à l'attachée de presse de Marine Le Pen quel est le principal défaut de la candidate du Rassemblement National, sa réponse a de quoi étonner. "Un manque de confiance en elle physique. Elle ne se trouve parfois pas assez bien alors qu'elle est très belle et très jolie", confie celle qui travaille avec la finaliste de la présidentielle 2017. Magali Berdah : "Vulgariser la politique, ce n'est pas une insulte" Dans les colonnes du dernier numéro de Closer, Magali Berdah explique pourquoi elle a décidé de se lancer dans cette campagne présidentielle. "Pour parler à tous ceux qui sont comme moi au départ et qui n'y comprennent pas grand-chose. Vulgariser la politique, ce n'est pas une insulte... Ça permet qu'elle devienne accessible à tous. Moi, quand j'écoute les hommes et les femmes politiques, souvent, je décroche, car ils sont barbants. D'ailleurs si ça arrive quand je discute avec eux pendant mes immersions, je le leur dis ! Pour qu'on s'intéresse à eux, c'est à eux de faire un effort, pas l'inverse ! Ce n'est pas à nous d'aller faire cinq ans d'études pour comprendre ce qu'ils disent dans leurs meetings", confie celle qui était connue jusqu'à présent pour être la papesse des influenceuses. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités