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Marine Le Pen : cette condition qu'elle impose à trois mois de la présidentielle pour débattre sur les plateaux télé

1/12 - Marine Le Pen La candidate du Rassemblement National, Marine Le Pen, a imposé une condition sine qua non pour ses prochaines participations aux débats politiques sur les plateaux de télévision, à trois mois de l'élection présidentielle. La candidate du Rassemblement National, Marine Le Pen, a imposé une condition sine qua non pour ses prochaines participations aux débats politiques sur les plateaux de télévision, à trois mois de l'élection présidentielle.  Marine Le Pen est une femme politique qui n'hésite pas à lancer des ultimatums. Selon une information de FranceInfo, la candidate du Rassemblement National a laissé entendre via son entourage qu'elle ne participerait aux futurs débats télévisés en vue de l'élection présidentielle qu'à une seule et unique condition : si Emmanuel Macron est également de la partie. Des propos qui font suite à la sortie médiatique de Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement. Selon ce dernier, qui s'est exprimé dans les colonnes du journal Le Parisien en date de ce samedi 29 janvier, s'est déclaré "sceptique" sur l'utilité d'un débat avant le premier tour du scrutin à l'élection présidentielle. La raison ? Car "c'est une campagne de morts-vivants" et qu'un "débat avec 15 candidats serait exclu du planning d'Emmanuel Macron". Des propos qui sont évidemment tombés dans l'oreille de Marine Le Pen. Et cette dernière n'a pas hésité à rebondir dessus. Marine Le Pen et Valérie Pécresse veulent débattre avec Emmanuel Macron C'est ainsi quela candidate du Rassemblement Nationala conditionné sa venue lors d'un potentiel futur débat télévisé à celle d'Emmanuel Macron. "Il serait trop simple qu'Emmanuel Macron arrive fin février, fasse toutes les émissions et ne rende de comptes à personne", a-t-elle déclaré, avant d'ajouter : "Si c'est pour débattre avec Gérald Darmanin, Jordan Bardella pourra y aller". Un avis que semble partager la candidate des Républicains, Valérie Pécresse. "Emmanuel Macron doit rendre compte de son bilan qui est calamiteux, de l'état de notre école, de l'état de notre hôpital, de l'état de notre justice, de la violence qui monte dans les rues, de l'immigration qui est incontrôlée". Ce premier débat, si le président décide d'y participer, s'annonce déjà virevoltant. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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