Marina Carrère d'Encausse : ses rares confidences sur son ex mari et père de ses trois enfants
Dans les colonnes de Gala, le 17 novembre 2022, Marina Carrère d'Encausse a fait des confidences très rares sur le père de ses enfants, son ex-mari, François. Elle a assuré qu'il a été un très bon père ainsi qu'un bon mari.
Avant d'être un médecin et une animatrice de télévision connue et reconnue, Marina Carrère d'Encausse est une mère de famille. En effet, elle est l'heureuse maman de trois enfants prénommés Lara, Thibault et Hugo. Ils sont le fruit de son histoire d'amour avec un certain François, radiologue de profession. Aujourd'hui, ils sont tous les deux divorcés et l'ancienne complice de Michel Cymes est célibataire. Dans les colonnes de Gala, le 17 novembre 2022, elle a évoqué sa vie de mère de famille comme elle le fait très rarement. "Le seul calcul que j'ai pu faire dans ma vie, c'est celui d'avoir des enfants. C'est très égoïste de dire ça mais, si je n'avais pas rencontré mon mari, j'aurais pu en faire avec n'importe qui tellement je savais qu'il fallait que j'en aie", a d'abord affirmé celle qui est la fille de l'historienne Hélène Carrère, membre de l'Académie française depuis 1990.
"Heureusement, je suis tombée sur un homme qui a été un excellent mari et un excellent père, qu'il est toujours", a-t-elle ajouté, très heureuse d'avoir eu la chance de partager la vie de cet homme. Si ses trois enfants, respectivement âgés de 33, 30 et 27 ans, ont tous quillé le cocon familial, ils restent "quand même très présents dans [s]a vie". "Ils ont souvent besoin de leur maman", a complété la célèbre animatrice du Magazine de la Santé. Elle a ensuite pris le temps d'évoquer son quotidien de femme et maman célibataire. "Je me sens très libre. Et c'est nouveau pour moi car je n'avais jamais vécu seule."
Marina Carrère d'Encausse apprécie sa vie de femme célibataire
Si elle a vraiment adoré sa vie de maman et de femme mariée, avec du recul, elle a avoué trouver "extrêmement plaisant et agréable de vivre sans contrainte, en faisant ce qu'[elle] veu[t], quand [elle] veu[t]". "C'est un luxe", a-t-elle conclu avec le sourire. Si la docteure prend la vie avec beaucoup de philosophie, c'est parce qu'elle a frôlé la mort lorsqu'elle avait 24 ans. Elle était en voiture avec son père, lorsqu'il s'est pris "de plein fouet" un platane alors qu'il roulait à 130km/h.
"Il s'était endormi parce qu'il était fatigué. C'est une cause d'accident extrêmement banale et c'était sur la route des Landes qui était une route mortelle à l'époque où les platanes se succédaient", s'est-elle souvenue. Par la suite, elle a été plongée dans le coma et a fait un long séjour à l'hôpital. "Je suis restée longtemps à l'hôpital parce que je me suis absolument tout abîmé, puis il y a eu des mois de rééducation après", a-t-elle poursuivi. Seulement, au lieu de dramatiser et de s'apitoyer sur son sort, elle a relevé la tête et a vu le positif de la situation. "Quand on est futur médecin, c'est utile. Ça apprend ce que c'est d'être patient, d'être dans un lit d'hôpital, comment il faut être pudique avec les patients, les respecter. C'est une expérience qui est intéressante. Je ne l'ai pas voulue, je l'ai subie, mais ça m'a beaucoup apporté."