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Arts et People

Magali Berdah : cette grosse somme versée à un célèbre magazine pour être en couverture à la place d'une autre 

Magali Berdah aurait dépensé une somme importante afin de recevoir des exemplaires de Forbes avec son portrait en couverture, comme l'a révélé le Parisien le 1er octobre dernier. L'année 2022 n'est pas de tout repos pour Magali Berdah. La célèbre directrice de l'agence d'influenceurs Shauna Events enchaîne les polémiques. Le 1er octobre dernier, c'est une révélation très inattendue qui a été faite par le Parisien. En effet, Magli Berdah aurait dépensé une somme importante pour une raison très particulière. En juillet dernier, le magazine Forbes a publié la liste des 40 femmes françaises les plus influentes de l'année. Parmi elles, Julie Gayet, Virginie Basselot, Aya Nakamura, qui était en couverture, et... Magali Berdah. Toutefois, selon les informations du journal, la directrice de Shauna Events aurait payé aux alentours de 20 000 euros pour recevoir quelques exemplaires d'une fausse version de ce numéro, avec son portrait en couverture. Concernant le titre, il était indiqué : "La reine du digital 2.0 et de l'influence". Une version postée par Magali Berdah sur son compte Instagram. "Juste pour ma grand-mère...", avait-elle écrit en légende de sa publication il y a plusieurs semaines. Alors que celle-ci revient sur le devant de la scène, les internautes se sont rapidement moqués dans les commentaires, amusés de cette révélation. "Elle a bon dos la mamie", a écrit un d'entre eux, qui ne semble pas croire ses dires. Magali Berdah enchaîne les coups durs. Le 11 septembre dernier, un nouveau numéro de Complément d'enquête a été diffusé sur l'antenne de France 2. Celui-ci était intitulé "Arnaques, fric et politique : le vrai business des influenceurs" et ce sont quelques influenceurs qui se sont confiés. Confrontée aux placements de produits par toujours légaux, la directrice de Shauna Events a créé le buzz sur les réseaux sociaux, notamment à cause de sa "tendinite au bras" qui a beaucoup amusé les internautes. Suite à la diffusion de celui-ci, c'est sur l'antenne de Virgin Radio que la principale concernée a souhaité se défendre. "Rien n'a été montré. On a expliqué tout ce qui a été mis en place par Shauna Events, pour contrôler. La juriste est même venue vous expliquer la grille de vérification d'un site", a-t-elle d'abord indiqué. "Tout ce qui était constructif pour les gens, tout ce que les gens attendaient comme réponse à la question 'Qu'est-ce que vous faites en tant qu'agence pour protéger les consommateurs et les influenceurs ?'... Rien n'a été montré ! Pas une seule minute ! Ça m'énerve !", avait-elle poursuivi, très énervée. Dans ce reportage, il y avait également Milla Jasmine, candidate emblématique, qui a assuré être millionnaire. "Autant, je suis un peu habituée à ce genre d'émission, autant Milla Jasmine, ils l'ont vraiment humiliée. Ce n'est pas cool. Ça reste un être humain. Il ne faut pas se comporter comme ça. Ce n'est pas bien", a conclu Magali Berdah, bien décidée à défendre sa cliente. Magali Berdah : pourquoi est-elle en guerre contre Booba ?  Les placements de produits des influenceurs font beaucoup parler. Accusée de pratiquer du dropshipping, Magali Berdah a dû faire face aux foudres de Booba et de ses fans. Sur ses réseaux sociaux, le rappeur exposait des visages de la télévision qu'il accusait d'escroquerie. "Au-delà de n'avoir aucun talent, de faire la promotion de la culture du vide, de la débilité, et de ne pas payer leurs impôts en France, ils entubent des citoyens - notamment des adolescents - en leur vendant des saloperies", avait-il affirmé dans les colonnes de Libération. En mai dernier, Magali Berdah avait riposté et porté plainte pour cyberharcèlement, indiquant être la "cible de propos antisémites, de menaces de mort, de décapitation, de lapidation, de viol, ainsi que d'invitation au suicide". De son côté, le rappeur avait porté plainte pour diffamation et dénonciation calomnieuse. Il avait ensuite fait deux signalements auprès de la Direction Générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) à propos de Shauna Events. Une guerre qui est loin d'être terminée.

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