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Loire-Atlantique : alerté par des cris, un couple se réveille en pleine nuit et fait une découverte cauchemardesque sur son plafond

1/6 - Loire-Atlantique : alerté par des cris, un couple se réveille en pleine nuit et fait une découverte cauchemardesque sur son plafond Une famille de Meilleraye-de-Bretagne, en Loire-Atlantique, est contrainte de vivre en compagnie de colocataires chiroptères. Une famille de Loire-Atlantique est envahie par des colocataires chiroptères. Ils ont fait cette découverte cauchemardesque il y un an et depuis, impossible de s'en débarrasser... Une famille de Meilleraye-de-Bretagne, en Loire-Atlantique, est contrainte de vivre en compagnie de colocataires chiroptères. Plus de 200 chauves-souris ont élu domicile chez Émilie Ravard, son mari et leurs quatre enfants. Excédée par ces petites bêtes volantes, la mère de famille de 40 ans a raconté ses déboires à actu.fr. « Vous ne passeriez pas une nuit dans ma chambre », a-t-elle confié au site d'actualité. Émilie Ravard : "Ça faisait des petits cris, des grattements" Émilie Ravard ne sait plus comment faire face à cette colonie de chauves-souris qui lui pourrit la vie. Voilà un an qu'elle s'est rendu compte de la présence de ces mammifères placentaires. "J'avais entendu des bruits qui venaient du plafond de ma chambre, en mai, juin, le soir, au moment d'aller me coucher. J'ai pensé qu'une bête était au-dessus de ma tête. Ça faisait des petits cris, des grattements. J'avais l'impression qu'elle se déplaçait dans le mur", a-t-elle raconté à actu.fr. À cette époque, les chauves-souris logeaient dans le grenier grâce à une ouverture sur le pignon de la maison. Un spécialiste avait alors pulvérisé un répulsif à base d'eucalyptus dans le grenier. Cela avait réglé le problème... temporairement. Cette année, elles sont revenues en nombre : 198 chauves-souris en l'espace de 35 minutes ont été dénombrées par Émilie Ravard et son mari. "Début mai, ça grattait beaucoup plus que l'année dernière au plafond et dans les murs", a relaté la mère de famille complètement dépitée. "On les entend gratter dans le haut des murs de chaque chambre. Elles se répandent dans les murs de toute la maison de l'étage jusqu'aux chambres des filles". "Je paye mes loyers tous les mois, je n'ai pas à subir ça. Une année ça va, mais là c'est trop", a dénoncé Émilie Ravard qui se dit laissée au dépourvu par son bailleur social. Mais l'organisme en question rappelle que  "les 33 espèces de chauves-souris sont protégées par la loi depuis 1981". Il est donc interdit de chasser  les chauves-souris, protégées par l'article L.411-1 du Code de l'Environnement. Le bailleur s'est tout même engagé à trouver un logement temporaire pour cette famille à bout de nerfs.

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