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Arts et People

Lady Di : la véritable raison pour laquelle elle était à Paris le soir de sa mort

Le 31 août 1997, Lady Diana mourrait tragiquement dans un accident de voiture sous le pont de l'Alma à Paris. Et il se trouve que la princesse était à Paris pour une bonne raison ce jour-là. C'est une nuit tragique qui restera dans les mémoires. Le 30 août 1997, Lady Diana et son compagnon Dodi Al-Fayed arrivent à l'aéroport du Bourget à bord d'un jet-privé après des vacances de rêve en Sardaigne, avant de prendre leurs quartiers au Ritz, dans une suite luxueuse. Après avoir dîné dans le célèbre palace parisien, le couple décide de rejoindre l'appartement du milliardaire rue Arsène-Houssaye. Un trajet tumultueux durant lequel ils sont poursuivis par les paparazzis, jusqu'au tragique accident sous le pont de l'Alma que l'on connait, et qui a coûté la vie à Lady Diana. Une perte terrible, tandis que le Daily Mail rapporte que la princesse de Galles aurait pu éviter cet accident, si elle ne s'était pas trouvée à Paris ce soir-là. En effet, selon le tabloïd, Lady Diana avait décidé de retarder son retour en Grande-Bretagne après ses vacances en Sardaigne, en s'octroyant quelques jours de vacances en plus avec Dodi Al-Fayed, alors qu'elle aurait dû rentrer le 28 août. Et ce à cause de sa peur des critiques de la part des conservateurs britanniques, qui l'accusaient "d'avoir utilisé la campagne de la lutte contre les mines antipersonnel pour renforcer sa propre image". Des attaques qui l'ont "bouleversées", au point de reporter son retour. "Elle nous a donc contactés et nous a dit qu'elle ne voulait pas de tous les tracas qui l'attendaient au Royaume-Uni", rapporte Colin Tebbutt, son ancien chauffeur et garde du corps. Quel célèbre traité Lady Diana a-t-elle influencé pour cette lutte ? C'est en janvier 1997 que Lady Diana s'est personnellement engagée contre les mines terrestres, notamment dans des pays comme l'Angola et la Bosnie, où elle s'était rendue pour échanger avec des victimes de ces explosifs. Si action a été saluée, elle a également été très critiquée par les ministres britanniques à l'époque, comme le ministre conservateur de la Défense, Earl Howe, qui l'avait accusée d'être "mal informée sur la question des mines antipersonnel", tandis que son collègue Peter Viggers plaisantait à ce sujet en comparant cet engagement à celui de Brigitte Bardot pour la protection des animaux. Un engagement qui a tout de même influencé l'aboutissement du traité d'Ottawa pour l'interdiction des mines antipersonnel, qui a été signé par 122 pays le 3 décembre 1997, quelques mois après la mort de Lady Diana. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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