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Arts et People

Jonathann Daval : ce détail diabolique révélé par la mère d'Alexia sur sa manipulation

Les parents de la jeune Alexia Daval ont accepté se confier sur leur quotidien, avec Jonathann Daval, le meurtrier de leur fille. Pour le journal Libération,  ils sont revenus sur un détail sordide : une habitude que l'assassin d'Alexia leur imposait. Ils ont vécu pendant des mois aux côtés de l'assassin de leur fille.Jonathann Daval était au plus près de ses beaux-parents, trois mois après avoir tué son épouse, Alexia, retrouvée morte à l'âge de 29 ans dans un bois, en Bourgogne. Pour le journal Libération, les parents de la jeune femme ont accepté de revenir sur leur quotidien avec le meurtrier de leur fille. Lui qui pendant des semaines a pleuré sur les épaules de son beau-père et de sa belle-mère. "Celui qui m'aurait dit pendant ces trois mois 'Jonathan l'a tuée', je l'aurai insulté. On n'y a pas cru sur le moment. Vous savez, il avait sa place dans le caveau familial à côté de nous et d'Alexia", confie Pierre Fouillot, le papa de la jeune femme décédée. Sa maman, elle, se rappelle des habitudes que son gendre avait prises lorsqu'il était chez eux : "Il nous a manipulés. Rendez-vous compte, après la mort d'Alexia, il choisissait ce que l'on regardait à la télé. Et il demandait de ne pas mettre de films violents, parce qu'il ne supportait pas", révèle Isabelle Fouillot. Des détails sordides.Si l'homme a écopé de 25 ans de prison, les parents d'Alexia demandent encore des explications : "Nous savons que Jonathann a tué notre fille, mais nous ne savons toujours pas pourquoi, et nous ne le saurons certainement jamais. Nous devons vivre sans vérité. C'est insupportable", confiaient-ils au Point. Isabelle Fouillot : "L'histoire aurait pu être largement différente s'il n'avait pas fait ce mensonge de joggeuse" Ce jeudi 28 octobre, ils sortent un livre sur l'affaire Daval, baptisé "Alexia, notre fille", dans lequel ils ont souhaité dévoiler leur vérité : "Elle s'appelait Alexia. C'était notre fille. Et cela fait quatre ans qu'elle a été tuée par celui qui lui avait promis de l'aimer. Depuis, nous ne vivons plus. Nous survivons", peut-on lire en quatrième de couverture. Pensent-ils un jour pardonner le bourreau de leur fille ? "C'est impossible. L'histoire aurait pu être largement différente s'il n'avait pas fait ce mensonge de joggeuse", a précisé Isabelle Fouillot dans L'heure du crime. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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