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Arts et People

Jean-Luc Mélenchon en froid avec ses voisins ? Ce geste malveillant qu'aurait fait l'un d'eux pour le contrarier

Dans le livre Autopsie d'un cadavre (éd. Fayard) d'Olivier Pérou, il révèle que Jean-Luc Mélenchon ne serait pas en très bons termes avec ses voisins de sa maison de campagne dans le Loiret. Il aurait même été victime d'un geste de malveillance. Jean-Luc Mélenchon n'aurait pas uniquement des problèmes avec ses adversaires politiques. A en croire les propos tenus par Olivier Pérou, dans son livre, Autopsie du cadavre (éd. Fayard), il ne serait pas le bienvenu dans sa maison de campagne située vers Montargis, dans le Loiret. Pourtant, il semblerait qu'il y passe du temps ces derniers temps, depuis qu'il a pris la décision de se mettre en retrait de la vie politique. Actuellement, il travaillerait sur des projets personnels ainsi que l'écriture d'un livre. S'il espérait profiter du calme de la campagne, il semblerait qu'il doive faire face à des voisins loin de l'apprécier. "Il y a bien ces deux ou trois voisins qui ne l'aiment pas et le regardent du coin de l'oeil", a ainsi raconté le journaliste dans son livre. Seulement, cette situation ne semble pas le déranger. Déjà en 2017, L'Express révélait que le leader des Insoumis était "peu soucieux en tout cas d'entretenir de bonnes relations avec les autochtones". Aujourd'hui, Jean-Luc Mélenchon est devenu méfiant avec avec ses voisins. D'ailleurs, il est persuadé qu'ils sont à l'origine d'un acte de malveillance le concernant. "Il est convaincu que c'est l'un d'eux qui a repeint sa boîte aux lettres l'an dernier", a encore écrit le journaliste dans son livre. Mais il ne semble pas avoir envie de régler ses comptes. Il préfère laisser couler et se concentrer sur autre chose. Et pourtant, l'ancien candidat à l'élection présidentielle n'est pas du genre à ne pas dire ce qu'il pense. Jean-Luc Mélenchon n'est pas du genre à ne pas dire ce qu'il pense Tout le monde se souvient de son incroyable coup de sang survenu en octobre 2018, dans le cadre d'une enquête sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen et les comptes de la campagne présidentielle 2017. Il avait hurlé à plusieurs reprises sur les forces de l'ordre : "La République, c'est moi". Peu de temps après, il avait assuré ne rien regretter. A de nombreuses reprises, il avait encore crié au scandale, dénonçant un "procès politique". Mais ce n'est pas le seul coup de gueule à mettre au compte de l'homme politique. En mars 2010, alors qu'il était interrogé par un étudiant de l'école de journalisme de Sciences Po sur l'abstention durant les régionales, le député Insoumis avait alors reproché à la presse, et notamment au journal Le Parisien, d'avoir fait sa une sur le retour des maisons closes, au lieu de s'interroger sur les raisons pour lesquelles les citoyens ont boudé les urnes. "C'est vos problèmes à vous, le refoulé politique de la petite bourgeoisie. Vos sujets de merde vous allez les faire avec des gens qui répondent à la merde (...) Tu fermes ta petite bouche et tu me parles de politique", avait-il lancé, sans prendre de gant, au jeune étudiant. Une séquence qui avait fait beaucoup de bruit.

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