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Arts et People

“Je me suis un peu shooté” : Michel Cymes évoque ses séquelles après avoir contracté le Covid

Sur le plateau d'On est en direct, samedi 20 novembre 2021, Michel Cymes est revenu sur la période où il a contracté la Covid-19. Même s'il avait reçu les deux doses du vaccin, le célèbre animateur a avoué avoir eu des symptômes persistants. La vaccination n'empêche pas d'attraper la Covid-19. C'est l'information qui a tout le temps été donnée et Michel Cymes est bien placé pour en parler. Sur le plateau d'On est en direct, samedi 20 novembre 2021, le célèbre animateur a expliqué avoir contracté la Covid-19 il y a très peu de temps. "Moi je peux vous dire, j'ai eu le Covid il y a trois semaines", a-t-il déclaré alors que Laurent Ruquier et Léa Salamé l'interrogeaient sur la troisième vague. Pourtant, celui qui a pris sa retraite de médecin a reçu deux doses de vaccins. "On va pas raconter des bobards, le vaccin n'empêche pas d'attraper le virus, mais ça vous protège contre les formes graves", a tenu à rappeler Michel Cymes en déclarant également que le vaccin, "empêche de contaminer les gens, parce que les gens non vaccinés sont beaucoup plus contagieux que ceux vaccinés". D'ailleurs, pour lui, même s'il a tout de même contracté le coronavirus, il est important de se faire vacciner. De son côté, il a eu "deux jours avec un rhume ainsi qu'une perte du goût et de l'odorat pendant trois semaines". Pour récupérer le plus vite possible, celui qui était médecin ORL n'a pas hésité à prendre beaucoup de médicaments. "Je me suis un peu shooté", a-t-il avoué. Aujourd'hui, il semble être en pleine forme. Si la France doit faire face à une cinquième vague du virus, l'ancien animateur du Magazine de la santé a tout de même tenu à rassurer. Michel Cymes est rassurant face à la cinquième vague "Le fait qu'on soit une très grande majorité à être vaccinés, fait que c'est plutôt rassurant parce que cela veut dire qu'on ne fera pas de formes graves de la maladie." Ainsi, il sous-entendant que les hôpitaux ne devraient pas faire face à des flux de patients dans un état grave comme ça a pu être le cas lors des précédentes vagues. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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