Isabelle Adjani désespérée : ce choix de son fils qu'elle ne valide pas du tout
C'est dans les colonnes du journal Nice Matin qu'Isabelle Adjani a fait de drôles confidences sur son fils Gabriel-Kane. L'actrice ne valide pas du tout certains de ses choix physiques...
Isabelle Adjani a fait de rares confidences. En déplacement dans le sud de la France, l'actrice a accordé une interview au journal Nice Matin. Entre ses nombreux projets professionnels et sa vie privée, elle n'a rien caché. D'ailleurs, la comédienne et chanteuse de 67 ans s'est confiée comme jamais sur son fils Gabriel-Kane. Et surprise : elle a révélé ne pas valider tous ses choix physiques...
Si du haut de ses 27 ans le mannequin et musicien est libre de ses choix, sa mère ne se prive pas pour donner son avis, notamment sur ses tatouages qu'elle n'apprécie pas du tout ! "Ne m'en parlez pas, ça me donne envie de pleurer. J'accepte ceux de mon fils comme une maman résignée, mais cet engouement générationnel qui touche aussi des gens qui n'ont plus 20 ans me désespère et me bouleverse." a-t-elle déploré.
Isabelle Adjani : pourquoi son fils Gabriel-Kane aime les tatouages
Pour Isabelle Adjani, la peau c'est sacré. "Sans jugement moralisateur, la peau est pour moi un organe et cet encre que l'on loge sous la peau pollue l'organisme. La peau reflète aussi la lumière d'un être. L'obscurcir me déconcerte. L'autre fois, j'ai vu quelqu'un qui s'était fait tatouer le blanc des yeux. J'en ai pleuré." a ajouté la comédienne. En fait, son fils Gabriel-Kane tient son amour des tatouages de son père, le comédien britannique Daniel Day-Lewis.
En 2016, le principal concerné avait fait quelques confidences à ce sujet dans les colonnes de Paris Match. "Ma mère n'aime pas du tout ! Même mon père, qui pourtant en a plein, me dit de me calmer. A 21 ans, j'en ai déjà plus que lui qui en a 59 (...) "Parfois, je me fais tatouer dans des endroits où ça fait très mal. J'aime bien tester mon endurance à la douleur et aller au bout de ma résistance. Un tatouage, c'est purificateur." avait-il expliqué.