Il se réveille à la morgue et terrorise le médecin légiste
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Il se réveille à la morgue En Espagne, un médecin légiste a eu la peur de sa vie en découvrant que la personne dont il devait s'occuper était en train de respirer. Une enquête interne a été lancée pour savoir comment une telle erreur médicale a pu se passer.
En Espagne, un médecin légiste a eu la peur de sa vie en découvrant que la personne dont il devait s'occuper était en train de respirer. Une enquête interne a été lancée pour savoir comment une telle erreur médicale a pu se passer.
C'est ce que l'on appelle un retour à la vie. En Espagne, le week-end dernier, un médecin légiste s'est vu apporter un cadavreafin de déterminer les causes réelles de sa mort. Jusque-là, rien d'anormal. Mais après quelques contrôles de routine, ce dernier s'est aperçu que le corps qui était censé être sans vie était en train de... respirer. La scène s'est déroulée au sein de l'hôpital de Riudecanyes, dans la province espagnol de Tarragone. Imaginez-vous la frayeur de ce médecin légiste...
Les faits se sont déroulés de cette manière : une ambulance s'est rendue au domicile d'un homme âgé de 64 ans après qu'une personne ait appelé après l'avoir retrouvée morte. Envoyé sur place, donc, un médecin a constaté le décès du sexagénaire, qui était connu dans son quartier pour des faits d'alcoolisme depuis de longues années. Le médecin n'a pas tenté de réanimer le corps sans viecar il estimait son décès comme rédhibitoire.
Envoyé à la morgue, le séxagénaire avait simplement des problèmes respiratoires
Logiquement amené directement à la morgue, le corps a été examiné par le médecin légiste qui était de garde ce jour-là. Et stupéfaction : ce dernier respirait. Transféré en urgence au service réanimation, il a finalement été sauvé. Mais devant cette énorme bourde médicale, une enquête interne a été ouverte pour comprendre les véritables raisons de cette erreur de diagnostic qui aurait pu être fatale. Si l'on peut logiquement penser que cette histoire est unique, il n'en est rien : tous les ans, au moins une dizaine de cas similaires est recensé à travers le monde.