"Il m'a dit surtout…" : Muriel Robin dévoile les coulisses de son rendez-vous secret avec le Premier ministre
Muriel Robin était l'invitée de France Inter, ce mardi 26 octobre. La comédienne était venue parler de Doutes, un téléfilm diffusé sur Arte. Elle a également évoqué son engagement contre les violences faites aux femmes, un combat dont elle a parlé, il y a quelques jours, avec le Premier ministre.
Muriel Robin sera de retour au petit écran le 5 novembre prochain dans un téléfilm intitulé Doutes, qui sera diffusé sur Arte. Un long-métrage dans lequel elle joue une journaliste dont le mari est accusé d'avoir violé une jeune fille. La comédienne était invitée sur France Inter, ce mardi 26 octobre, pour parler de ce projet.Celle qui a été victime de deux tentatives de viol a également évoqué son engagement contre les violences faites aux femmes.
Un engagement qui l'a conduit, il y a quelques jours, à rencontrer Jean Castex. "Nous avons vu le Premier ministre la semaine dernière", a indiqué Muriel Robin. Une rencontre qui s'est organisée après que la voisine de Line Renaud ait décidé d'écrire à Emmanuel Macron. "Le président m'a dit 'Vois le Premier ministre.' Donc nous l'avons vu il y a quatre jours. Il m'a dit 'surtout ne fait pas d'effet d'annonce'. (...) J'ai aimé son écoute, je l'ai senti très accessible, il maîtrise très, très bien le sujet. On veut faire ensemble, on n'est pas dans la critique." Si le Premier ministre s'est refusé à annoncer quoi que ce soit, Muriel Robin assure croire en son engagement : "J'y crois, il faut y croire", a-t-elle conclu.
Quelles sont les propositions de Muriel Robin pour lutter contre les violences conjugales ?
Nul doute que la compagne d'Anne Le Nen a soumis à Jean Castex quelques propositions pour faire avancer les choses dans le domaine des violences faites aux femmes : "Il y a du travail, on manque de maisons d'hébergement, il faut encore de la formation d'accueil parce qu'il y a encore des choses qui sont incroyables (...) Il faut éduquer les petites filles et les petits garçons, il faut un travail sur la pornographie car les enfants y sont en contact à partir de 8 ans, il faut mettre dans la constitution l'IVG (ndlr : Interruption volontaire de grossesse) pour que ce soit intouchable, car il y a encore des discussions...", a-t-elle notamment énuméré.
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