Helena Noguerra : cette "dictature" imposée par son père durant sa jeunesse
Interrogée par nos confrères de Télé Star, Helena Noguerra s'est confiée sur son éducation assez stricte. Celle qui joue dans la nouvelle saison de Clem a évoqué la façon dont son père l'a éduquée.
Les téléspectateurs vont retrouver Helena Noguerra dès ce lundi 28 mars, sur TF1 dans la série Clem. Nouvelle arrivante, elle va jouer le rôle d'Iris Kahn, une professeur d'art, très charismatique, qui va profiter de sa position face à Valentin, joué par Thomas Chomel. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que la comédienne va jouer aux côtés de Lucie Lucas, comme elle l'évoque dans un article pour nos confrères de Télé Star : "J'avais joué avec Lucie Lucas dans La Petite Femelle et elle m'avait beaucoup plu, sa personne, ses engagements... Alors quand on m'a proposé de rejoindre Clem, je n'ai pas hésité", a-t-elle confié.
Cet entretien fut également l'occasion d'évoquer sa jeunesse : "J'ai été élevée par un père qui nous imposait - gentiment - une dictature de l'intellectuel. Ce qui fait que très vite j'ai eu envie d'exploser ces frontières, de réconcilier Sylvie Vartan et Fassbinder", dit-elle en souriant. Un rôle de composition donc pourHelena Noguerraqui joue tout de même un rôle assez osé, puisqu'elle a dû séduire le personnage de Valentin. A la question "Comment avez-vous tourné ces scènes délicates ?", la comédienne répond du tac au tac : "D'abord sans 'moraliser' car Iris Kahn ne se dit pas 'il a 18 ans c'est mal'", commence-t-elle par évoquer.
Helena Noguerra : "J'ai essayé d'être avec ce jeune acteur comme j'aurai aimé que l'on soit avec moi"
Helena Noguerraa donc adapté son jeu : "Ensuite dans ces scènes de séduction, j'ai essayé d'être avec ce jeune acteur comme j'aurai aimé que l'on soit avec moi pendant toute ma vie d'actrice", confie-t-elle, bienveillante. Les deux comédiens parlaient donc de leur jeu avant de faire ces scènes délicates : "Je lui annonçais ce que j'allais faire : 'Est-ce-que si je pose ma main sur ta cuisse, ça va ? Si je te prends la nuque, ça va ?' Je fais partie de la génération des daronnes, on a connu cette époque où l'on faisait un peu ce qu'on faisait de nous sur les tournages. Cela change heureusement", s'est-elle enthousiasmée.
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