Harrison Ford : son impressionnante évolution physique en images (Photos)

Ce mercredi 28 juin, Indiana Jones et le Cadran de la Destinée sort dans les salles obscures. L’occasion pour les cinéphiles de retrouver Harrison Ford dans son rôle le plus mythique. Il faut dire que l’acteur a marqué des générations avec son personnage d’Indiana Jones. C’est en 1981, que le premier film de la saga voit le jour. Réalisé par Steven Spielberg, il met en scène un professeur d’archéologie, courageux, qui va devenir une véritable légende. Trois ans plus tard, c’est Le Temple maudit qui sort en salles, puis La Dernière Croisade et Le Royaume du crâne de Cristal en 2008.  Il faut attendre 2023 pour que le cinquième opus sorte au cinéma. Harrison Ford, 80 ans, tient une nouvelle fois le premier rôle. Et pour la première fois, ce n’est pas Steven Spielberg qui est aux commandes mais un autre réalisateur : James Mangold. Pour Franceinfo, le cinéaste est revenu sur ce dernier opus : “On y pense tous les jours, quand on l’écrit, quand on le filme, quand on est sur le plateau. On s’en sort en pensant toujours à l’humour, au personnage. Il y a un aspect que je n’essaierais jamais de changer dans Indiana Jones, ce sont personnages excentriques, drôles, étranges, et presque contradictoires.” Harrison Ford magistral à 80 ans dans le dernier Indiana Jones Et pour le réalisateur, l’âge d’Harrison Ford n’a pas été un frein pour ce film. “On savait ce qu’on faisait, on n’allait pas cacher son âge. Faire croire qu’il a quarante ans quand il en a plus de 70. On devait être honnêtes. Il fallait à la fois qu’on explique où en étaient le monde et notre personnage, dans sa vie, au moment du film (en 1969, NDLR). Sinon le film n’aurait pas été crédible dès le départ.” Les équipes de tournage se sont ainsi adaptées et ont pu proposer des scènes à couper le souffle. “Harrison Ford a tourné les scènes en question avec des capteurs sur son visage, et la technologie est arrivée à un tel niveau de précision aujourd’hui que ce n’était pas si compliqué, on n’avait pas tant de choses à rajouter ou retoucher ensuite.”