Guerre en Ukraine : une ancienne Miss prend les armes contre la Russie

PHOTOS. Anastasiia Lenna, une ancienne reine de beauté ukrainienne, a décidé de prendre les armes dans le conflit qui oppose son pays à la Russie. C'est sur son compte Instagram que cette combattante pas comme les autres a exposé sa position. Alors que certains ont décidé de fuir l'Ukraine depuis l'invasion Russe le 24 février 2022, d'autres en revanche veulent monter au front pour défendre leur pays. C'est le cas d'Anastasiia Lenna, une jeune ukrainienne qui est ancienne de reine de beauté. En effet, comme le rapporte le Daily Mail, Miss Ukraine 2015 n'entend pas rester silencieuse et surtout passive dans ce conflit de grande ampleur. C'est d'ailleurs via son compte Instagram qu'elle publie régulièrement des clichés d'elle, arme à la main, avec des légendes on ne peut plus clair telles que : "Tous ceux qui traversent la frontière ukrainienne avec l'intention d'envahir seront tués !". Particulièrement engagée, Anastasiia Lenna a également invité la population à "démonter les panneaux routiers sur toutes les routes du pays" pour désorienter les troupes russes mais a aussi démandé aux pays occidentaux de d'exclure les banques russes de la plateforme de paiement Swift. Déterminée dans sa lutte pour la préservation de l'Ukraine, l'ex reine de beauté dit tenir son engagement et sa persévérance de Volodymyr Zelenskyy, le président ukrainien. "C'est un vrai chef fort" a-t-elle confié. A noter que ce n'est pas la première fois qu'Anastasiia Lenna prend les armes. Au contraire, la jeune femme y est même habituée ! Comme on peut en effet le constater via ses réseaux sociaux, elle s'est engagée dans une carrière militaire et suit régulièrement des entraînements de tirs. Fini donc les robes à paillette, l'ex reine de beauté a troqué sa couronne pour les boots et les uniformes. Une femme aux multiples casquettes Anastasiia Lenna n'est pas juste un physique aventageux. Avant de prendre les armes, la jeune femme a travaillé en tant que responsable des relations publiques en Turquie et a également été traductrice. Elle parle d'ailleurs cinq langues, ce qui est un véritable atout pour les négociations. Nul doute qu'elle doit être une source d'inspiration. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités