Gabriel Attal inquiétant : ces propos sur la 5e vague qui laissent présager de nouvelles décisions difficiles
Gabriel Attal était l'invité du Grand rendez-vous sur Europe 1, CNews et Les Échos, dimanche 21 novembre 2021. Le porte-parole du gouvernement a évoqué la cinquième vague du coronavirus et ne s'est pas montré très rassurant.
Depuis plusieurs semaines, la France, tout comme plusieurs pays du monde, doit faire face à la cinquième du coronavirus. Invité du Grand rendez-vous sur Europe 1, CNews et Les Échos, dimanche 21 novembre 2021, Gabriel Attal ne s'est pas montré très rassurant devant les derniers chiffres de la contamination. "Cette 5e vague, elle démarre de façon fulgurante", a-t-il ainsi lancé en se basant sur des faits : le nombre de cas journaliers a presque doublé en une semaine. Une hausse qui est inquiétante. En revanche, contrairement à certains de nos pays voisins, le porte-parole du gouvernement a estimé que la vaccination pourrait limiter les hospitalisations. "On voit qu'il y a une augmentation très forte des contaminations, mais on sait aussi qu'en France, on a une très large couverture vaccinale (et) on est plutôt en avance par rapport à nos voisins sur le rappel de vaccination", a-t-il encore déclaré.
D'ailleurs, selon lui, le pass sanitaire fait "peser les contraintes sur les personnes non vaccinées plutôt que sur les personnes vaccinées". Ainsi, il n'est pas question, pour le moment, d'arrêter ce dispositif ou encore de l'alléger. D'ailleurs, en cas de hausse considérable de personnes hospitalisées, le gouvernement pourrait même être dans l'obligation de prendre d'autres mesures encore plus restrictives pour limiter la propagation du virus.
Gabriel Attal assurent que des éléments inquiètent mais d'autres rassurent
Malgré tout, Gabriel Attal n'a pas voulu inquiéter les Français à quelques semaines des fêtes d'année. Alors que celles de l'année dernière avait été gâchées par la pandémie et les nombreuses restrictions mises en place (couvre feu et rassemblements limités à peu de personnes), il a déclaré que même s'il y avait des éléments qui pouvaient "nous inquiéter", il y en avait d'autres qui pouvaient "nous rendre confiants".
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