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Arts et People

Elodie Bouchez : combien a-t-elle d'enfants ?

Actrice discrète, Élodie Bouchez poursuit depuis trente ans une belle carrière. Elle a commencé chez Serge Gainsbourg (Stan the Flasher en 1989) avant d'être révélée au grand public par Cédric Klapisch dans Le Péril jeune (1994), et de passer devant la caméra des plus grands noms du cinéma français (Michel Deville, Laurent Bouhnik, Abdellatif Kechiche ou encore Quentin Dupieux). Elodie Bouchez a même fait deux incursions aux États-Unis en apparaissant dans des épisodes des séries Alias et The L World entre 2005 et 2007. La fille unique d'une mère assistante de direction et d'un père chauffeur de taxi, autrefois architecte, n'a pourtant pas le melon, ce que confirme Abdellatif Kechiche : « Elle est intègre. C'est de l'ordre du miracle dans ce métier de rester simple de corps et d'esprit. Surtout pour une actrice. » Si elle brille en plateau, la comédienne veille à garder le secret sur sa vie privée. Il faut lire attentivement ses rares interviews pour arriver à lever le voile sur son intimité. En 2016, en pleine escapade américaine, Elodie Bouchez révélait au magazine Gala ne pas vivre à New-York ou à Los Angeles : « Beaucoup de gens le croient parce que j'ai vécu là-bas au moment où je tournais les séries Alias et The L Word, mais j'ai toujours habité en France. » Son vrai rêve américain, elle le vit aux côtés du co-fondateur de Daft Punk, Thomas Bangalter, dont elle partage la vie depuis 1999. Un choix plutôt « stratégique » puisque le musicien ne sort jamais sans son casque. Comment gérer la célébrité et l'anonymat tant convoité quand on a des enfants ? Elodie Bouchez, une mère comme les autres Élodie Bouchez a su développer suffisamment son art de la discrétion pour en faire profiter ses deux enfants, Tara-Jay (né en 2002) et Roxan (né en 2008) : « Comme nous-mêmes ne sommes pas trop sollicités, nos garçons en bénéficient. Ils vont d'ailleurs dans une école publique de quartier. On pourrait bien entendu les inscrire dans des établissements où il n'y a que des enfants comme eux, on n'a rien contre d'ailleurs, mais pour l'instant on n'en voit pas la nécessité. » Son culte de la normalité, Elodie Bouchez la pousse au point de faire la moue quand on lui propose de se pavaner sur un tapis rouge. Sa priorité ? L'éducation de Tara-Jay et Roxan : « Avec les enfants, je suis sympa jusqu'à un certain point, comme tout le monde. Mais s'ils me font basculer vers la mère chiante, je deviens très chiante. » Qui a dit qu'Élodie Bouchez était une star capricieuse ?

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