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Arts et People

Elle fait une découverte horrible dans le dressing de son fils de 19 ans

Comme des millions d’autres mères, Terri Cohee faisait le ménage dans la chambre de son fils. Elle était loin de se douter de ce qu’elle allait y découvrir. En 2021, cette mère de famille originaire du Colorado a appelé les autorités après avoir trouvé une tête humaine cachée dans le placard de son fils de 19 ans. "J’étais dans sa chambre, je faisais le ménage, je rangeais quelques trucs, a-t-elle expliqué à la police lors d’un interrogatoire, et j’ai commencé à fouiller dans les boîtes en plastique posées à l’intérieur. J’ai vu un sac en plastique, je me suis dit ‘Qu’est-ce que c’est que ça ?’, je l’ai soulevé, c’était lourd, et je l’ai pris dans mes mains." "Il y avait des asticots dessus, a-t-elle poursuivi. Je l’ai mis dans le lavabo, il y avait deux sacs donc j’ai ouvert le premier, et je n’ai pas ouvert le second. J’ai appelé son père et lui ai dit ‘Il faut que tu viennes maintenant’." Épouvantés, les parents du jeune Bryan, 19 ans, ont identifié une tête humaine coupée au niveau du cou. "Est-ce que vous pouvez venir ? Je crois que c’est une tête humaine" Terri Cohee s’est alors empressée de prévenir la police, faisant le choix de ne pas protéger son fils. "Est-ce que vous pouvez venir ? Je crois que c’est une tête humaine", l’entend-on dire dans un appel au numéro d’urgence 911 dévoilé dans le documentaire Parents Discover Teen Son's Horrifying Secret, récemment diffusé sur la chaîne YouTube Explore with us. Arrêté par les autorités, Bryan Cohee n’a pas essayé de nier. Lorsqu’un policier lui a demandé "Tes parents sont inquiets à cause de quelque chose qu’ils ont trouvé dans ta chambre ?", l’adolescent s’est contenté de répondre, impassible : "Ouais, je crois. C’est une tête humaine et des mains. C’est à ce mec qui a disparu. Je l’ai tué avec un couteau." Il voulait voir "ce que ça ferait de commettre un meurtre" Flegmatique, le jeune homme a reconnu avoir tué Warren Barnes, un sans-abri de 69 ans disparu quelques semaines plus tôt. Il a déclaré s’être "toujours demandé ce que ça ferait de commettre un meurtre" et avoir choisi sa victime en estimant "qu’elle ne manquerait à personne". "C’était le soir du 27 février. La lune était pleine, on voyait bien donc je me suis dit pourquoi ne pas essayer. J’allais très mal psychologiquement ce jour-là, je souffre de dépression", a-t-il expliqué, précisant avoir cherché une cible au volant de sa voiture, jusqu’à apercevoir Barnes. "J’ai pris mon couteau, j’ai mis trois couches de gants parce que les gants en plastique peuvent trahir leurs propriétaires, étant très fins. J’ai pris le couteau et je l’ai poignardé dans le cou. Il a paniqué, il m’a demandé ce que je faisais et pourquoi, et j’ai continué à le poignarder." Bryan Cohee a également reconnu avoir prémédité le crime pendant six mois et avoir démembré le cadavre après lui avoir donné "le sourire du Joker" en lui coupant les joues. Un crime aussi terrible que sanglant pour lequel il n’a exprimé aucun remord, selon les autorités. Depuis, une statue en mémoire de Warren Barnes a été installée à l’endroit où il passait le plus de son temps.

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