Elizabeth II : cet unique mot qu'elle a prononcé en apprenant les liens d'Andrew avec Jeffrey Epstein
Une nouvelle biographie de la défunte reine Elizabeth II révèle le mot unique prononcé par la souveraine en apprenant les liens de son fils Andrew avec Jeffrey Epstein. Explications.
Dans son nouveau livre intitulé Elizabeth: An Intimate Portrait, le romancier britannique Gyles Brandreth, proche du prince Philippe, lève le voile sur la réaction de la défunte reine lorsque celle-ci a appris le lien qui unissait son fils Andrew à Jeffrey Epstein. Selon l'auteur, Elizabeth II aurait écouté attentivement le Duc d'York lui parler de son amitié avec l'homme d'affaires accusé de trafic de mineurs avant de se fendre d'une réponse lacunaire : "intriguant". Rien d'étonnant quand on sait, comme Gyles Brandreth, que la Reine avait pour habitude de cultiver la discrétion et d'économiser sa salive. Selon son biographe, Elizabeth II n'aurait cependant pas hésité une minute à lui retirer ses titres militaires et lui interdire d'utiliser le prédicat d'altesse royale. "La Reine a pris les choses en main", écrit Gyles Brandreth dans son livre. L'habitude d'une femme de poigne qui a veillé sur les intérêts de sa famille et de son royaume jusqu'à son dernier souffle en septembre dernier.
Cette révélation savoureuse survient alors que le roi Charles III aurait sévèrement tancé son frère après avoir appris son "lobbying insistant" auprès de leur mère pour récupérer ses titres royaux. Selon le Mirror, Andrew aurait déjà été "pris de court par son frère aîné qui lui aurait dit d'accepter" son sort. Malgré cette disgrâce historique dans la famille royale, le duc d'York espère encore pourvoir réintégrer sa famille et reste convaincu de sa valeur pour la couronne britannique. L'apparition d'Andrew aux funérailles de sa mère à l'automne dernier avait pourtant été particulièrement critiquée. On se souvient notamment de cet Écossais de 22 ans qui lui avait lancé "Tu es un vieil homme malade" lors du passage du cortège funéraire dans le centre-ville d'Edimbourg. Pour rappel, le Duc d'York a évité un procès aux États-Unis en février dernier en payant à une Américaine, mineure lors de l'affaire Epstein, plusieurs millions d'euros. Une somme dont le financement par la couronne avait d'ailleurs suscité la polémique au Royaume-Uni.
Cet homme persuadé de l'innocence d'Andrew
Difficile de croire à l'innocence d'Andrew. Un homme en est pourtant persuadé : John Bryan. "Je crois qu'Andrewest innocent. S'il était vraiment impliqué dans des 'orgies' comme on l'a prétendu, alors Epstein aurait utilisé cela pour essayer de soudoyer la Reine afin qu'elle verse des millions pour protéger sa famille", certifie celui qui fut l'amant de Sarah Ferguson au début des années 90. Personne n'a oublié ces clichés scandaleux du financier texan embrassant les pieds de la duchesse d'York, seins nus, au bord d'une piscine. Des photos qui avaient d'ailleurs entamé une rupture définitive entre Sarah Ferguson et la famille royale. John Bryan va plus loin dans ses révélations choc, évoquant sa discrète entrée en scène dans la loge royale de Windsor pour venir en aide à Andrew dans la tourmente. Les affaires ne s'arrangent pourtant pas encore pour le frère cadet de Charles III. Selon The Daily Mail, le duc d'York n'aurait toujours pas tenu une promesse déjà vieille de 9 mois : le versement de 2 millions de livres à une organisation caritative pour les victimes de trafic sexuel.