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Derrière l'assassinat de deux couples paisibles, l'œuvre d'un tueur en série en liberté

1/6 - Derrière l'assassinat de deux couples paisibles, l'œuvre d'un tueur en série en liberté Cette affaire commence avec la mort d'un couple, Howard et Bea Ainsworth. Les Ainsworth, âgés de 79 ans et 78 ans, sont morts Wilmslow, dans le Cheshire, en 1996. Deux couples de retraités ont été tués de la même façon à Wilmslow, dans le Cheshire, en 1996 et en 1999. Un tueur en série, toujours en liberté, serait le responsable de ces meurtres. Cette affaire commence avec la mort d'un couple, Howard et Bea Ainsworth. Les Ainsworth, âgés de 79 ans et 78 ans, sont morts Wilmslow, dans le Cheshire, en 1996. La police a rejeté à plusieurs reprises la possibilité d'un meurtre, selon The Sun. D'ailleurs, à cette époque, la police avait déclaré qu'elle pensait que Howard avait tué sa femme avec un marteau et un couteau avant de se donner la mort. Cela en se tuant avec un sac sur la tête. Une lettre de suicide a été trouvée à côté des corps. Ce qui a corroboré à la version d'un meurtre-suicide. Pourtant, en 1999, un autre couple de retraités a également été trouvé mort dans les mêmes circonstances et cela, toujours à Wilmslow. Cette fois, c'est Auriel, 68 ans, qui a été trouvée morte, battue et poignardée, tout comme Béa Ainsworth. Encore une fois, les policiers avaient conclu un meurtre-suicide et a même suggéré que Donald, 73 ans, avait tuer sa femme dans lors d'une crise de folie avant de se poignarder. Pourtant, Christine Hurst, l'officier du tribunal du Cheshire à l'époque, avait évoqué un lien potentiel entre ces quatre morts. Cependant, on lui avait répondu : "Laissez tomber, Mlle Marple, tout est sous contrôle". L'idée du tueur en série a tout de même été prise au sérieux C'est le successeur de Christine Hurst, Stephanie Davies, qui s'est penchée sérieusement sur cette affaire. Ce qui a rendu plus sérieuses l'éventualité d'un tueur en série dans les deux cas. D'ailleurs, elle affirme que "tout dans les deux doubles décès indique un agresseur unique qui pourrait s'en prendre à des personnes âgées fragiles dans le nord-ouest de l'Angleterre". Ce qui a mis la puce à l'oreille de Stephanie Davies est l'absence de tâches de sang sur le pyjama de Howard. Normalement, ce type d'attaque est censé laisser des tâches de sang avec des queues. Sauf que là, il n'y avait rien. Elle s'est également demandée comment Donald a pu réussir à se tuer en se tranchant la gorge tout en se poignardant le cœur. Pourtant, aucune de ces blessures n'a présenté de signes de saignement important. Ce qui l'a amené à penser que ces blessures auraient pu être infligées après sa mort, selon le Times. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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