Delphine Jubillar : le chemin qu'aurait emprunté un potentiel tueur se précise
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Disparition de Delphine Jubillar Les gendarmes ont repris les recherches sur le terrain depuis le 17 janvier dernier afin de tenter de retrouver le corps de Delphine Jubillar, cette infirmière qui n'a plus donné signe de vie depuis décembre 2020.
Les fouilles à Cagnac-les-Mines se poursuivent pour tenter de retrouver le corps de Delphine Jubillar, disparue depuis plus d'un an. Les enquêteurs se concentreraient sur un chemin en particulier que le tueur aurait pu prendre pour dissimuler le corps de l'infirmière.
Les gendarmes ont repris les recherches sur le terrain depuis le 17 janvier dernier afin de tenter de retrouver le corps de Delphine Jubillar, cette infirmière qui n'a plus donné signe de vie depuis décembre 2020. Ils se concentrent sur les environs d'une ferme qui se situe à moins de deux kilomètres du domicile familial, à Cagnac-les-Mines. Un endroit où Cédric Jubillar, le mari de la jeune femme mis en examen pour meurtre sur conjoint en juin dernier et placé en détention provisoire, aurait avoué, à plusieurs personnes, avoir enterré son épouse.
Selon Femme actuelle, le chemin qu'aurait pu emprunter le tueur commencerait à se préciser. "Il y a plusieurs vallons, notamment un qui est dans le collimateur des enquêteurs actuellement", a confié Brice Vidal, un journaliste de 100% Radio. D'après lui, "le long du chemin de Drignac" est un "secteur qui aurait pu être emprunté par le tueur [...]il aurait pu passer en voiture pour transporter le corps, ça c'est une certitude". Malgré la présence de cinq ou six habitations autour de la ferme, le journaliste assure qu'il est possible de "passer par-derrière" ces maisons en toute discrétion.
Des fouilles méticuleuses
D'après La Dépêche, ce lundi 24 janvier, le chemin de Drignac a été dégagé et terrassé à l'aide de pelles mécaniques. La zone a également été quadrillée et un gendarme d'une équipe cynophile a fait passer un chien Malinois pour détecter une éventuelle odeur suspecte. Des militaires ont aussi sondé le sol avec des détecteurs de métaux tandis que d'autres creusent. Un travail méticuleux qui devrait prendre plusieurs semaines puisque la zone que les enquêteurs souhaitent passer au crible s'étend sur 14 hectares.
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